Search results for

Big Data

Formations

TOP 10 des Meilleurs Masters en Data Science

Vous envisagez d’obtenir un master en data sciences ? Le blog de DataScientest t’a élaboré une petite liste des 10 meilleurs diplômes, notés par les Chief data Officiers et managers de 30 entreprises du CAC 40. C’est parti :

Si tu veux devenir Data Scientist :

  1. ENSAE Paris Tech, MS Data Science (4,75/5)

Tarif : entre 9 500€ et 14 000€

Durée : 420 heures de cours + stage de 4 à 6 mois

Description : C’est un master d’excellence qui apporte tout le bagage nécessaire pour devenir data scientist, data analyst ou encore chief data officer. Les cours sont conçus de telle manière à ce que les étudiants puissent mettre en pratique ce qui leur a été enseigné. Master alliant les connaissances à la fois techniques et théoriques, il te permettra de mener une carrière d’expert ou te hissera à la plus haute place des postes décisionnels de la data.

  1. Polytechnique, Master Data Science (4,73/5)

Durée : 1 an

Description : Ce master est proposé en partenariat avec l’Université Paris-Saclay, l’ENS et Télécom Paristech. Il propose un parcours pédagogique d’excellence alliant théorie et pratique. Il offre également aux étudiants qui le souhaitent, la possibilité d’obtenir un doctorat et de continuer dans la recherche.

  1. ENS Mathématiques vision Apprentissage (4,70/5)

Durée : 6 mois de cours + 4 mois de stage minimum

Description : Ce master est en association avec les écoles et universités les plus prestigieuses : Centrale Supélec, Polytechnique, Télécom Paristech et Jussieu. Il dote les étudiants de connaissances techniques solides qui leur permettront d’obtenir les meilleurs postes aussi bien en startups que dans les plus grandes entreprises du CAC 40, et ce, quelque soit le secteur d’activité.

  1. Université Paris Dauphine-MASH- Mathématiques, Apprentissage et Sciences Humaines (4,61/5)

Durée : 6 mois de cours + 4 mois de stage

Description : Ce master est reconnu par le CEREMADE (Centre de Recherche en Mathématiques de la Décision). Il offre un bagage en statistiques appliquées à l’économie numérique et aux sciences humaines.

Si tu veux devenir Data Analyst :

  1. Formation X-HEC data science for business (4,66/5)

Tarif : 41 300€

Durée : 2 ans

Description : C’est un master de prestige qui allie la renommée de la plus grande école de commerce de France à celle de la plus grande école d’ingénierie française. Le programme est conçu de telle sorte à ce que les étudiants puissent mettre en application toutes les connaissances techniques apprises lors de la première année à Polytechnique et ainsi répondre à des problématiques commerciales dans le cadre des cours à HEC.

  1. ESSEC-Centrale Supélec master of science, data science & business analytics (4,57/5)

Tarif : 23 000€

Durée : entre 1 et 2 ans

Description : À l’instar du master précédent, il allie le prestige de deux des plus grandes écoles de commerce et d’ingénierie de France. La particularité de ce master est le grand choix proposé aux étudiants quant à l’élection de leurs cours avancés. Ce diplôme est classé 3ème mondial et 1er européen par le classement mondial des universités QS.

  1. Telecom Paristech, master spécialisé big data (4,14/5)

Tarif : 18 500€

Durée : 9 mois de cours + 3 mois de stage

Description : La renommée internationale de ce master permet aux étudiants de décrocher les meilleurs postes dans les plus grandes entreprises. Ce master de qualité promeut l’innovation avec son incubateur Télécom Paris Novation Center Entrepreneurs et tous ses chercheurs.

Si tu veux devenir Data Engineer

  1. Telecom Paristech, master spécialisé big data (4,56/5)

Tarif : 18 500€

Durée : 9 mois de cours + 3 mois de stage

Description : voir description plus haut (si tu veux devenir data analyst 3)

  1. Université Paris Saclay- Finalité M2 Statistiques et Machine Learning (4,2/5)

Durée : 1 an de cours + 4 mois de stage

Description : Attention ! Cette formation est ultra sélective puisqu’elle n’offre que 20 places. C’est un master orienté plutôt Machine Learning qui aide les étudiants à préparer leur thèse en leur apprenant tous les outils nécessaires à l’analyse et à la prise de décision.

  1. Université Paris-Dauphine- Master Intelligence Artificielle, Systèmes, Données (IASD) (4,14/5)

Durée : 1 an de cours + 6 mois de stage

Description : C’est un master à haut niveau d’exigence qui apporte aux étudiants les connaissances théoriques les plus pointilleuses afin de devenir les prochains créateurs des meilleurs systèmes d’IA. Les cours sont dispensés par des grands chercheurs et des professionnels reconnus. Les étudiants auront également le choix entre un large panel d’options qui leur permettra de se spécialiser.

Dossier

Pollution Numérique et Data Science

La crise du Covid et la pause imposée à certaines industries comme le transport aérien a soulevé une nouvelle fois l’impact néfaste de l’Homme sur son environnement et le rôle qu’il peut jouer pour préserver la planète. Face aux gros pollueurs dont l’activité est de plus en plus critiquée, il existe une pollution encore méconnue: la pollution numérique  . Connue par 17% des Français selon une étude d’Inum, elle désigne la pollution liée à l’impact du numérique dans son ensemble, c’est-à-dire de sa création et sa fin de vie. 

Que représente la pollution numérique par rapport à toutes les autres formes de pollution ? Quels sont les mécanismes en jeu ? Comment limiter l’impact du numérique sur la planète ?

Pollution numérique : Des chiffres surprenants

La  pollution numérique est responsable de l’émission de 1400 millions de tonnes de CO2 par an, soit 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Elle est issue principalement des data center à hauteur de 25%, des infrastructures de réseau à 28% et à 47% en ce qui concerne les équipementsIl est généralement plus symbolique de comparer ces chiffres à quelque chose plutôt que de les citer.  La forte augmentation d’utilisateurs et notre consommation de données laissent prévoir que d’ici 2025, cette empreinte aura doublée

 

Les gestes du quotidien, pris individuellement, n’ont pas grand impact. Le problème est que ces petits gestes font partie d’une masse beaucoup plus vaste.  Pour visualiser l’impact du numérique, il faut se rendre compte qu’internet c’est 45 millions de serveurs, 800 millions d’équipements réseaux, 15 milliards d’objets connectés en 2018, 10 milliards de mails envoyés (hors spam) et 180 millions de requêtes en 1 heure

Voici ce que des gestes anodins du quotidien peuvent représenter comme pollution  :

  • 1 mail est l’équivalent d’une ampoule basse consommation pendant 1h, alors on multiplie cela par 10 milliards. 
  • 1 internaute c’est 1000 requêtes par an, soit 287 000 de CO2, soit 1,5 millions de km parcourus en voiture
  • Encore plus gourmand, le streaming vidéo ! Il représente 60% des flux de données sur internet et on comprend pourquoi quand on sait que rien que Pulp Fiction pèse 200 000 fois plus lourd qu’un email sans pièce jointe. 

Ces chiffres peuvent sembler exagérés, mais il s’agit bien de la réalité. Cependant, il faut noter que la plus grande part de pollution provient de la fabrication des matériels numériques et non de leur utilisation. Un téléviseur nécessite 2,5 tonnes de matières premières pour sa création, ce qui est équivalent à un aller-retour Paris Nice en avion en termes de CO2. Un ordinateur de 2kg nécessite 800 kg de matière premières. Et plus c’est petit, plus c’est polluant. Alors on vous laisse imaginer pour un smartphone.

 La Data Science pour aider à réduire la pollution numérique

La data science a bien sûr son rôle à jouer dans tout ça. Plusieurs start-up ou entreprises font appel à cette technologie. La start-up Cleanfox a développé un outil qui vous débarrasse des spams et newsletter : «Nous avons développé des technologies nous permettant de lire les en-têtes des mails sans récupérer de données personnelles, explique Édouard Nattée, le fondateur de Cleanfox. Nous nous sommes aperçus que ces mêmes technologies pouvaient nous servir à détecter des newsletters et proposer à l’internaute de se désabonner automatiquement.». Cleanfox analyse votre boite mail et vous propose de supprimer ou non ce mail, en donnant des informations relatives tel que la quantité de CO2 entraîner par ce mail par exemple.

Comment la data science peut-elle lutter contre le réchauffement climatique ?

Au cœur des enjeux planétaires actuelles, le réchauffement climatique constitue un des plus grands défis de notre époque. Malgré de nombreuses politiques menées par les pays du monde entier visant à réduire les émissions de CO2, le volume d’émission de dioxyde de carbone continue de croître de manière exponentielle si bien que les chances de survies de l’Homme au sein de la planète Terre s’amenuisent de jours en jours. Toutefois, même si l’horloge tourne, l’Homme accompagné des nouvelles technologies qu’il a mis au point a encore la possibilité de sauver notre chère planète bleue. C’est dans ce contexte que l’Intelligence Artificielle et le Machine Learning pourraient devenir les défenseurs n°1 de la lutte contre le réchauffement climatique. 

 

Voici le top 5 des différentes façons au travers desquelles le Machine Learning pourrait permettre de sauver la planète :

Le Machine Learning pour gérer la consommation d’énergie

De nos jours, la consommation d’énergie et des combustibles fossiles tels que le pétrole ne cessent de polluer contribuant ainsi grandement au réchauffement de la planète. Pour lutter contre cette consommation dévastatrice, les gouvernements des pays du monde entier tendent à privilégier désormais les énergies renouvelables telles que le vent ou le soleil qui, en plus d’être moins néfastes pour l’environnement, coûtent moins chers.

Néanmoins, ces sources d’énergie étant fortement dépendantes de la météo, il semble difficile pour l’Homme de déterminer la quantité exacte d’énergie qui sera produite.
Les algorithmes de Machine Learning, en analysant les données météorologiques et les conditions atmosphériques pourraient non seulement prédire le volume d’énergie généré mais également prédire la demande permettant ainsi de redistribuer la production vers les différentes centrales, tout en évitant le gaspillage.

Autre point intéressant, les nouvelles technologies permettent, sur la base de l’intelligence artificielle, de gérer la consommation d’énergie. Les assistants intelligents peuvent étudier les habitudes d’une maison et décider d’éteindre le chauffage pendant que personne n’y est et de réchauffer la maison une heure avant le retour des résidents.
La prévision de l’énergie nécessaire pour alimenter une machine, une usine, voire une ville permet de ne pas sur-produire, ainsi de ne pas gaspiller et ne pas émettre de l’énergie inutilement.

Le Machine Learning pour gérer le secteur du transport

Un autre secteur où le Machine Learning pourrait avoir impact positif retentissant est le transport. En effet, il pourrait par exemple optimiser les trajets permettant ainsi un allégement du trafic routier, un des acteurs actuels les plus polluants.

Le Machine Learning pour aider les satellites de surveillance de CO2

En vue de contrôler la quantité de CO2 émises par chaque pays européen, l’UE envisage dans les années à venir de mettre en place des satellites de surveillance de CO2Le Machine Learning, combiné aux données récoltées par ces satellites pourrait permettre d’identifier non seulement les émetteurs principaux de CO2 mais également les secteurs d’activité les plus polluants.  Il sera plus facile pour un pays par exemple de déterminer les  domaines sur lesquels il faudra réfléchir en priorité pour moins polluer.

Le Machine Learning pour aider les pays les plus vulnérables au réchauffement climatique

Le Machine Learning, en étudiant les données et photographies prises par les satellites, pourrait identifier les différentes régions du monde sujettes au réchauffement climatique. Cela pourrait par la même occasion permettre aux différents pays concernés d’anticiper et ainsi de mieux gérer les éventuelles catastrophes naturelles qui risquent de les frapper. 

De même, une analyse en temps réel des publications via les réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook permettraient de déterminer dans quelles régions du monde, une aide est la plus nécessaire.

Le Machine Learning pour éviter le gaspillage alimentaire

L’analyse de données massives via le Machine Learning pourrait permettre d’optimiser des processus industriels et donc de réduire les émissions polluantes. Par exemple, les fermiers pourrait recevoir en temps réel des informations sur leurs plantations pour diffuser la quantité d’eau nécessaire. Autre exemple, des entreprises spécialisés pourraient organiser la redistribution de nourriture pour éviter le gaspillage en alimentant les zones connaissant des carences.

Devenir Data Scientist pour sauver la planète

Dans cet article, vous avez pu découvrir les opportunités que les data sciences offrent pour lutter contre le réchauffement climatique au travers une meilleure gestion de l’énergie et des ressources disponibles. Pour maîtriser ces nouvelles technologies, une formation s’impose. Pourquoi ne pas choisir un organisme qui a déjà fait ses preuves pour former des data scientists de plus de 30 grands groupes français et qui ouvre désormais ses classes aux particuliers ?

 

Comme nous l’avons observé tout au long de cet article, la pollution numérique a un impact négatif conséquent sur l’environnement et ne cesse d’augmenter exponentiellement.  La data science, de par son étude de la big data, nécessite une grande quantité de données, très polluante à conserver. Néanmoins, l’intelligence artificielle et le Machine Learning, à travers leurs capacités à s’appliquer à des domaines tels que l’énergie, le transport, le gaspillage alimentaire offrent de vastes perspectives d’avenir synonymes de lueurs d’espoirs pour la préservation de notre planète. Il convient alors aux différents gouvernements et aux entreprises de trouver un juste milieu entre l’impact négatif et l’influence positive que pourraient apporter la data science à l’environnement.

Actualités

L’ultimate list des plateformes SaaS de Data Science !

La data science se démocratise … à tel point que l’on voit fleurir de plus en plus de SaaS et autres plateformes pour devenir le parfait petit DataScientist ! C’est l’avènement du DSaaS (DataScience As A Service), que l’on constate surtout outre-atlantique, mais cela ne saurait tarder en France !

Je vous propose de lister ici ces nouvelles plateformes, user-friendly, qui rendent la data science facile. La liste a pour dessein d’évoluer dans le temps !

Continue Reading

Définitions

Le vocabulaire du Data Scientist pour les nuls

Voici les principaux éléments de vocabulaire et acronymes à connaître autour de la Data Science et du Big data (cf. sourcing des définitions à la fin du post).

Avec quelques explications vulgarisées selon ma compréhension et des schémas qui me semblent parlants.

N’hésitez pas à ajouter des commentaires, ce post est évolutif!

Continue Reading

Définitions

Data Scientist, Data Analyst et autres définitions

Qui dit nouveau métier, dit nouveau vocabulaire!

L’objectif de ce post est de lister un panel représentatif des dénominations de métiers trouvées (sans pour autant aborder les qualités requises ainsi que les responsabilités, qui feront l’objet de posts ultérieurs!) pour tenter d’y voir un peu plus clair.

Au fond, l’équation Data Scientist = Data Analyst = Dataminer = Data Architect … est-elle vérifiée?

Continue Reading

Table de travail d'un business analyst
Définitions

Analyse Commerciale : Découvrez le monde de la Business Analytics

Dans le paysage commercial actuel, l’analyse est devenue un pilier essentiel pour orienter les choix stratégiques et favoriser la croissance. L’émergence du Big Data et des innovations technologiques a donné lieu à une discipline indispensable : la Business Analytics. Ce champ d’expertise explore et valorise les données pour révéler des insights pertinents, des tendances occultes et des orientations stratégiques. Il permet ainsi aux entreprises de prendre des décisions avisées tout en acquérant un avantage compétitif.

Qu’est-ce que la Business Analytics ?

La Business Analytics, aussi connue sous le nom d’analyse commerciale, est une discipline essentielle en affaires. Elle concerne la collecte, le traitement et l’analyse de données dans le but de fournir des insights actionnables. Ce champ permet aux entreprises de s’appuyer sur des données concrètes pour orienter leur stratégie, plutôt que sur de simples hypothèses. Au lieu de se limiter à l’examen des tendances historiques, la Business Analytics exploite des méthodes avancées pour révéler des motifs, relations et opportunités souvent méconnus. Par l’emploi de techniques variées, comme les analyses statistiques et les modèles prédictifs, elle aide les organisations à mieux comprendre leur position actuelle, à prévoir les évolutions futures et à optimiser leurs opérations.

Elle couvre une gamme variée de secteurs, de la finance au marketing en passant par la gestion des ressources humaines et la logistique. Elle intègre non seulement les données internes, mais aussi des informations externes pour offrir une vue globale. Avec les progrès technologiques et la montée en puissance de l’intelligence artificielle, la Business Analytics a évolué de manière significative. Elle propose désormais des solutions sophistiquées en matière de visualisation de données, de prédiction de tendances et d’optimisation des processus. En résumé, elle est devenue un levier essentiel pour toute organisation cherchant à prendre des décisions fondées dans un environnement d’affaires en constante mutation.

Différence entre Business Analytics et Business Intelligence

Bien que les termes « Business Analytics » et « Business Intelligence » puissent parfois être considérés comme synonymes, ils se distinguent par leurs approches et leurs objectifs en matière de données d’affaires. La Business Intelligence (BI) met l’accent sur l’agrégation, l’organisation et la visualisation des données historiques de l’entreprise. Elle offre une perspective rétrospective, alimentant ainsi la prise de décisions basées sur des informations passées.

À l’inverse, la Business Analytics (BA) va plus loin en s’intéressant à l’anticipation des performances à venir. Elle utilise des méthodes sophistiquées comme l’analyse prédictive, la modélisation statistique et même l’apprentissage machine pour éclairer sur des tendances, des relations et des corrélations inexplorées. Son but ultime est d’orienter des décisions stratégiques et opérationnelles plus éclairées. En somme, tandis que la BI se consacre à une compréhension rétrospective des données, la BA se focalise sur des analyses avancées pour guider l’avenir.

L’Impact du Business Analytics sur la Prise de Décision

L’adoption de la Business Analytics dans le processus décisionnel a révolutionné la stratégie d’entreprise. Avec une analyse de données poussée, les dirigeants disposent d’éléments concrets pour orienter leurs choix. Ces outils d’exploration révèlent des tendances et des relations complexes, souvent sources d’aperçus inattendus. Ainsi, les entreprises peuvent non seulement anticiper des opportunités mais aussi des risques, tout en s’appuyant sur des données fiables pour leurs décisions.

L’influence de la Business Analytics s’étend également à l’efficacité opérationnelle. En ajustant les processus internes à partir des analyses de données, les organisations ont la possibilité de minimiser les coûts, maximiser la productivité et améliorer le service client. Par exemple, l’exploration de données peut mettre en lumière des zones d’inefficacité dans la chaîne d’approvisionnement, optimiser la gestion des stocks ou encore personnaliser l’expérience client. À l’ère du numérique, la Business Analytics constitue un levier stratégique pour les entreprises cherchant à se démarquer et à s’adapter dans un environnement dynamique.

Exemples Concrets d’Application

Dans divers secteurs d’activité, la Business Analytics trouve des applications concrètes. En commerce de détail, elle permet, via l’analyse prédictive, d’anticiper les goûts des consommateurs pour une gestion optimale des stocks et une réponse efficace à la demande. Elle intervient également dans la tarification dynamique pour s’ajuster en temps réel selon la demande et les concurrents.

En santé, la Business Analytics facilite la prise de décisions médicales en prédisant les admissions futures et en allouant judicieusement les ressources. Elle aide aussi à cerner les facteurs de risque pour les patients et accélère la découverte de nouveaux médicaments.

Dans le secteur des médias et du divertissement, elle joue également un rôle significatif. Les services de streaming utilisent ces analyses pour personnaliser les recommandations, augmentant ainsi l’engagement utilisateur. Les studios de cinéma, de leur côté, ont recours à l’analyse prédictive pour estimer les performances potentielles de nouveaux films et ajuster leurs campagnes publicitaires en conséquence.

Cette polyvalence démontre que la Business Analytics s’impose comme un élément clé dans plusieurs industries, apportant des bénéfices concrets en matière de prise de décision, d’optimisation des opérations et d’innovation.

Les Compétences Requises pour une Carrière en Business Analytics

Pour débuter une carrière en analyse commerciale, un panel de compétences diversifié est requis, notamment en statistiques, en programmation et en communication. Comprendre les méthodes statistiques pour examiner des données et anticiper des tendances est fondamental.

L’aptitude à manipuler des outils d’analyse s’avère également indispensable. Cela englobe la maîtrise de langages comme Python ou R et la compétence pour travailler sur des plateformes SQL destinées à la gestion de bases de données. Savoir visualiser les données via des outils comme Tableau ou Power BI est un autre atout, permettant de rendre les résultats accessibles et intuitifs.

Au-delà des compétences purement techniques, l’analyse commerciale exige également un bon sens de la communication et du travail en équipe. Savoir décomposer des résultats analytiques complexes en messages simples pour les parties prenantes non initiées est crucial. Des aptitudes en pensée critique et en résolution de problèmes complètent le profil, aidant à cerner les enjeux d’analyse, à concevoir des stratégies adaptées et à contextualiser les résultats.

Ainsi, une carrière réussie en analyse commerciale allie des compétences techniques, des capacités d’analyse et des qualités relationnelles pour fournir une réelle plus-value aux entreprises.

Tendances Actuelles dans le Business Analytics

Le secteur de la Business Analytics est en pleine mutation, avec l’émergence de plusieurs tendances cruciales. Parmi celles-ci, l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) et de l’apprentissage automatique dans les pratiques d’analyse prend de l’ampleur. L’objectif est d’exploiter ces technologies pour détecter des schémas plus élaborés et pour automatiser un nombre croissant de fonctions analytiques, ouvrant ainsi la voie à des solutions plus avancées et prédictives.

Une autre évolution notable est le recours croissant à l’analyse en temps réel. Les entreprises s’orientent de plus en plus vers des dispositifs permettant une prise de décision immédiate en se basant sur des données en cours de production. Ceci requiert des infrastructures de données et d’analyse agiles et performantes, ainsi que l’adoption de technologies comme le traitement en mémoire et les plateformes d’analyse en temps réel.

La question de la confidentialité et de la sécurité des données reste également un enjeu de taille. Une attention accrue est portée aux techniques d’anonymisation et de sécurisation des données pour répondre à ces préoccupations.

En résumé, la Business Analytics poursuit sa transformation pour s’adapter aux besoins fluctuants des entreprises dans un environnement toujours plus centré sur les données. Les évolutions en matière d’IA, d’analyse en temps réel et de sécurité des données soulignent l’importance grandissante de ce domaine dans la prise de décision et l’impulsion de l’innovation.