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Google Cloud Platform – La solution d’hébergement pour votre site WordPress

OVH, Infomaniak, Hostinger, IONOS, o2switch, SiteGround, … Il existe des dizaines de solutions d’hébergement pour votre site internet. Mais avez-vous pensé à GCP ?

Cette infrastructure cloud ultra robuste vous offre des services d’hébergement de pointe pour répondre aux besoins croissants de votre entreprise. Découvrez comment installer votre site WordPress sur Google Cloud Platform. 

Qu’est-ce que Google Cloud Platform ? 

Avant de rentrer dans les détails de l’installation d’un site WordPress sur Google Cloud Platform, un point de rappel s’impose. 

Qu’est-ce que GCP ? Et pourquoi choisir cette solution d’hébergement ? 

Google Cloud Platform est une solution d’hébergement cloud à faible coût et hautement disponible. 

Grâce au cloud computing, GCP vous permet de stocker et de diffuser vos contenus via des serveurs distants ; garantissant ainsi une rapidité de chargement exceptionnelle. 

Grâce à ses fonctionnalités de mise à l’échelle automatique, votre site reste disponible à tout moment, quel que soit le volume de trafic entrant. 

Enfin, grâce à l’environnement sécurisé de Google, vos données bénéficient d’une protection maximale. 

Si vous souhaitez profiter de tous ces avantages, il est temps d’installer votre site WordPress sur GCP. 

Approfondir sur le cloud computing

Comment héberger son site WordPress sur Google Cloud Platform ? 

Pour profiter de tous les avantages Google Cloud Platform sur votre site web, vous devez d’abord créer un compte GPC. Sachez que vous bénéficiez d’un crédit de 300 $ pour tester les produits Google. 

Une fois que votre compte est créé, plusieurs solutions d’hébergement sont disponibles. Tout dépendra de la taille de votre site. 

WordPress sur Compute Engine

Cet hébergement Google Cloud Platform est recommandé pour tous les propriétaires de site WordPress ayant un trafic faible à moyen. Par exemple, le blog ou le e-commerce d’un solopreneur ou d’une TPE. 

Avec Google Compute engine, vous pouvez déployer votre site en seulement quelques clics. Voici les étapes à suivre : 

  • Créez une machine virtuelle : elle servira de serveur pour votre site web. GCP vous propose plusieurs types de machines (en termes de mémoire, processeur, … ), vous permettant ainsi de choisir celle qui correspond aux besoins de votre site internet. 
  • Installez WordPress : une fois la machine virtuelle configurée, vous pouvez installer WordPress. Pour cela, le plus simple est d’utiliser un package prêt à l’emploi comme Bitnami. 
  • Configurer les paramètres réseau : comme les adresses IP ou encore les règles de pare-feu. 

Bien qu’il soit réservé aux petits sites, ce déploiement vous offre une grande flexibilité et un contrôle total sur votre infrastructure d’hébergement. Vous pouvez par exemple activer la scalabilité automatique, profiter des services Google Cloud CDN (Content Delivery Network), utiliser les outils de surveillance pour suivre les performances de votre site, etc. 

Apprendre à héberger un site WordPress sur GCP

WordPress sur App Engine 

Google App Engine (GAE) est une plateforme d’hébergement sans gestion de serveur. Contrairement aux solutions classiques, où vous devez gérer l’infrastructure, l’installation, la configuration et la maintenance des serveurs, App Engine vous libère de ces contraintes. Cette solution automatise tous ces processus (paramétrage, mise à jour, correctif, … ), vous permettant ainsi de vous concentrer sur votre site web.  

Outre l’absence de gestion de serveur, cette option de Google Cloud Platform présente aussi d’autres bénéfices pour votre site WordPress. Notamment une scalabilité automatique, une sécurité et une disponibilité intégrées. 

Ce qui en fait la solution idéale pour les sites ayant un trafic variable avec des pics importants. 

WordPress avec Google Kubernetes 

Google Kubernetes Engine (GKE) permet d’héberger WordPress en utilisant des conteneurs. Autrement dit, vous pouvez déployer et gérer votre site internet dans un environnement distribué, automatisé et hautement performant. 

Comme il s’agit de l’option la plus avancée et la plus complexe, elle est principalement réservée aux grandes entreprises et celles ayant un fort potentiel de croissance. Dans tous les cas, elles doivent faire appel à une équipe de développeurs expérimentés pour déployer leur site WordPress avec cette option de Google Cloud Platform. 

Mais en contrepartie, elles en retirent une multitude de bénéfices : 

  • Scalabilité automatique et gestion des ressources : si votre site WordPress connaît une hausse soudaine du trafic, GKE ajuste instantanément les ressources allouées, vous évitant les temps de latence ou les pannes. 
  • Isolation et sécurité renforcées : chaque composant de votre site WordPress (serveur web, base de données, etc.) peut être isolé dans des conteneurs distincts. Cette indépendance des conteneurs garantit une meilleure sécurité et une meilleure résilience.
  • Déploiements simplifiés et automatisés : vous pouvez déployer de nouvelles versions ou fonctionnalités sans temps d’arrêt. 
  • Optimisation des coûts et gestion des microservices : vous n’utilisez que les ressources nécessaires à tout moment. 

S’inscire à notre formation GCP

Et pour aller plus loin dans l’utilisation de Google Cloud Platform, rejoignez DataScientest. 

Définitions

Tout savoir sur le reporting de durabilité CSRD ou Corporate Sustainability Reporting Directive

Si votre entreprise a acquis une certaine envergure, il est possible qu’elle soit concernée par la nouvelle directive européenne CSRD. Celle-ci a trait aux performances en matière de développement durable : celles-ci doivent désormais faire l’objet d’un reporting spécifique. Qui est concerné par cette directive ? Et que faire pour affronter cette nouvelle charge administrative de taille ?…

Vous le savez sans doute : l’Europe s’est fixé un objectif ambitieux. Celui de parvenir à la neutralité carbone d’ici 2050. Dans le cadre de ce vaste programme qui touche de nombreux secteurs d’activité, en avril 2021, la Commission Européenne a initié le CSRD, soit une réglementation qui contraint les entreprises d’une certaine envergure à un reporting lié à leurs actions durables. En bref, nous avons là une incitation forte à opérer de façon vertueuse. Et oui… L’Europe a à cœur d’encourager les initiatives allant dans le sens de la protection de l’environnement. Mais commençons par le commencement.

CSRD, ça veut dire quoi au juste ?

CSRD est l’abréviation de Corporate Sustainability Reporting Directive. Mais encore ? Dans la langue de Molière, cela nous donne : Directive sur les Rapports de Développement Durable des Entreprises. 

 Prendre en compte les enjeux climatiques

Toute l’idée est donc d’inciter les entreprises à prendre en compte les enjeux climatiques et sociétaux dans leurs efforts de développement. Parmi les objectifs fixés figurent :

  • Encourager les investissements durables, par l’usage de matériaux recyclables, de composants peu énergivores, etc.
  • Lutter contre le greenwashing, cette pratique de marketing mise en œuvre par certaines entreprises pour donner l’impression qu’elles agissent en faveur de l’environnement alors que ce n’est pas réellement le cas.

Dans la pratique, cette directive se traduit par l’obligation, pour des entreprises ayant atteint une certaine taille, de pratiquer un reporting « extra-financier » (non lié à leurs performances économiques), ayant trait à leur impact environnemental et leurs actions dans le sens de la durabilité.

Une directive contraignante

Le CSRD fait suite à l’adoption au niveau européen de 12 normes regroupées sous le label ESRS, soit European Sustainability Reporting Standards ou normes européennes d’information en matière de durabilité. Pour faire simple, nous avons là une tentative:

  • d’uniformiser les critères relatifs aux activités environnementales, car jusqu’alors, à la différence des informations financières, elles n’étaient pas bien normalisées avec notamment de multiples labels.
  • de favoriser la transparence, afin d’éviter les tentatives de greenwashing. Avec des critères qui se veulent a priori compréhensibles par tous, et donc plus accessibles.
  • de faciliter la comparaison entre les entreprises. Le CSRD va aider à distinguer les entreprises performantes en matière de durabilité.

Pour celui qui dirige une société, voir débarquer de nouvelles contraintes n’est jamais appréciable. Autant le savoir, les questions auxquelles il faut répondre de manière obligatoire sont plus de trois cent – 10 thématiques sont optionnelles. L’entreprise doit préciser quel est son domaine d’activité et sa chaîne de valeur, mais aussi indiquer une feuille de route quant à la gestion de son impact écologique. Voilà donc bien une charge importante pour l’entreprise, sachant qu’elle est déjà tenue à un reporting sur ses performances financières

Pourquoi ajouter de nouvelles servitudes, assorties de sanctions et d’amendes en cas de non conformité, diront certains ? Il apparaît que l’urgence de prendre des mesures de protection de la planète, telle que l’ont souligné les études menées par des organismes tels que le GIEC, a primé. Et donc, il ne paraît pas possible de s’y soustraire dès lors qu’on entre dans les critères de sélection…

Se former au CSRD sur Power BI

Quelles entreprises sont concernées ?

Bien évidemment, la question qui va poindre est celle-ci : mon entreprise est-elle concernée, et à quelle échéance ? Commençons par une nouvelle rassurante : même si le CSRD est entré en vigueur au début de 2024, les premiers rapports sont attendus pour le début 2025. Ce qui revient à dire que les intéressés vont disposer d’une année pour apprivoiser ces nouvelles normes. Et ce n’est pas de trop, si l’on en croit ceux qui ont commencé à s’y frotter, car le CSRD est présenté comme fort complexe. Certains spécialistes évoquent un vaste bouleversement, notamment dans les PME, qui accusent une forte impréparation sur un thème tel que l’évaluation de leur bilan carbone. D’autres experts affirment qu’il est quasi impossible de répondre à toutes les questions demandées par le CSRD et qu’il faut y aller progressivement. 

En réalité, il existait déjà depuis 2014 une obligation de reporting intitulé la NFRD (Non Financial Reporting Directive), mais elle ne touchait que 11000 entreprises – comptant plus de 500 salariés -, et montrait des insuffisances sur divers points.

Alors qui est concerné par la CSRD et qui en est exempté ? Près de 55 000 entreprises au total…

Les sociétés cotées en Bourse

Les sociétés cotées sur les marchés  réglementés doivent assurer le reporting CSRD, à l’exclusion toutefois des micro-entreprises, soit celles employant moins de 11 salariés. Pour ce qui est des PME cotées, il est bon de savoir que cette catégorie d’entreprise bénéficie d’obligations de reporting allégées.

Les entreprises européenne d’une certaine taille

Trois critères sont pris en compte ici. Dès lors que deux d’entre eux, sont satisfaits, l’entreprise entre dans le cadre du CSRD:

  • plus de 250 salariés,
  • 40 millions d’euros de chiffre d’affaires,
  • 20 millions d’euros au bilan.

Les grandes entreprises non européennes

Les entreprises extra-européennes qui réalisent un chiffre d’affaires de 150 millions d’euros sur le sol européen sont concernées par le CSRD.

La morale de cette histoire…

Il en est ainsi. Les entreprises ne sont plus appelées à briller par leurs seuls résultats économiques. Elles doivent désormais montrer qu’elles sont performantes au niveau de leurs responsabilités sociales et environnementales. À chacun de transformer cette obligation en opportunité de développements. Après tout, il n’est pas rare que de simples individus s’interrogent aujourd’hui sur les actions réalisées par une entreprise donnée en termes de biodiversité et sujets annexes. Et de plus en plus, ces critères peuvent peser sur le choix d’un prestataire donné. 

Alors, en s’habituant à un reporting précis en la matière, une entreprise va pouvoir mieux répondre à de telles questions et parfois emporter certains contrats pour lesquels la décision ne tenait qu’à quelques points distinctifs.

Maîtriser Power BI pour le CSRD

Formations

Formation développeur web : comment devenir expert le plus vite possible ?

Une formation de développeur web permet d’acquérir toutes les compétences nécessaires pour concevoir et créer des applications et sites web de haute qualité. Découvrez pourquoi et comment acquérir une véritable expertise !

Notre monde est de plus en plus numérique. Dans ce contexte, le développement web est devenu un pilier de nos sociétés, soutenant tout une gamme d’activités allant du commerce électronique aux réseaux sociaux en passant par les services bancaires en ligne et le streaming vidéo.

Face à cette réalité, les développeurs web jouent un rôle devenu indispensable. Ainsi, suivre une formation permet de s’engager dans une voie d’avenir et de saisir de nombreuses opportunités professionnelles !

Pourquoi suivre une formation de développeur web ?

Sur le marché du travail, les compétences en développement web sont devenues une précieuse ressource pour les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs.

Les professionnels qualifiés sont recherchés pour concevoir, construire et maintenir des sites web fonctionnels, des applications interactives et des solutions innovantes répondant aux besoins des utilisateurs.

Avec l’importance croissante de la présence en ligne pour les entreprises et organisations de toutes tailles, la demande pour ces compétences augmente. Aujourd’hui, disposer d’un site web fonctionnel et attrayant est essentiel pour atteindre et engager les clients, renforcer la notoriété de sa marque et stimuler sa croissance.

Qu’il s’agisse de créer de nouveaux sites web, d’améliorer les fonctionnalités existantes ou de développer des applications personnalisées, les entreprises investissent de plus en plus dans le développement et la maintenance de leurs plateformes en ligne.

Cette demande croissance se reflète dans l’explosion du nombre d’offres d’emploi et les salaires attractifs offerts aux développeurs qualifiés. Selon Indeed, le salaire annuel moyen pour cette profession dépasse 38 000€ !

S’inscrire à une formation développeur web

De plus, ce domaine offre une remarquable flexibilité de carrière. Que ce soit en tant qu’indépendant, en entreprise ou dans le secteur public, les opportunités abondent pour les experts en programmation web.

Les entreprises tech, agences de développement web, startups et grandes entreprises cherchent activement à recruter des développeurs talentueux capables de créer des produits numériques de qualité.

En outre, le développement web offre aussi la possibilité d’explorer des domaines spécialisés comme les applications mobiles, les jeux, l’IoT ou le e-commerce. Il est donc possible de choisir un emploi correspondant à vos intérêts.

Une formation permet aussi de s’adapter aux nouveaux langages, frameworks, bibliothèques qui émergent régulièrement. Un développeur doit constamment rester à jour sur les dernières tendances pour rester compétitif.

Au-delà de ces avantages, l’une des principales motivations pour suivre une formation de développeur web réside dans la satisfaction professionnelle qu’offre ce métier. Créer des solutions numériques permet d’avoir un impact significatif sur la vie des gens, qu’il s’agisse de simplifier des processus, de connecter des communautés ou d’améliorer l’accessibilité à l’information !

Quelles sont les compétences à acquérir ?

Réussir dans le domaine du développement web requiert un panel de compétences techniques. Avant toute chose, la maîtrise des langages de programmation HTML, CSS, JavaScript est indispensable.

C’est aussi le cas des langages côté serveur comme PHP, Python ou Ruby. La compréhension des concepts fondamentaux comme DOM (Document Object Model), AJAX et les APIs est aussi essentielle.

Il existe aussi de nombreux frameworks et bibliothèques à connaître tels que React, Angular, Vue.js, Bootstrap ou jQuery. Un développeur doit aussi connaître les bases de données et le langage SQL permettant de les manipuler.

Il doit aussi savoir travailler avec des outils de versionnement de code tels que Git, et manier les bonnes pratiques de sécurité web et d’optimisation des performances pour éviter les cyberattaques ou les dysfonctionnements.

C’est un métier collaboratif qui requiert de savoir travailler en équipe, de communiquer efficacement et de gérer les projets de manière autonome. Après avoir créé un site ou une application, il faut aussi savoir résoudre les problèmes et déboguer le code.

L’acquisition de ces compétences exige un engagement soutenu à la fois dans l’apprentissage et dans la pratique. Voilà la raison pour laquelle une formation est le meilleur moyen de commencer sa carrière !

Se former au développement web

Les avantages d’une formation de haute qualité

Suivre une formation structurée offre un cadre d’apprentissage organisé et progressif, permettant aux étudiants de développer leurs compétences de manière cohérente et systématique.

Les programmes comprennent généralement des cours théoriques, des projets pratiques, des exercices et des évaluations. Ils offrent ainsi une expérience d’apprentissage complète et équilibrée.

De plus, les formations sont dispensées par des instructeurs expérimentés et compétents, aptes à partager leur expertise, leur expérience et leurs meilleures pratiques. Cela permet aux apprenants de bénéficier du retour d’expérience des professionnels du domaine et de se familiariser avec les tendances et réalités du marché.

C’est aussi l’occasion de réseauter avec d’autres étudiants et professionnels du secteur. Les interactions avec les pairs et les mentors peuvent fournir un soutien précieux, des conseils et des opportunités de collaboration enrichissant l’expérience d’apprentissage et favorisant le développement professionnel.

Comment choisir la bonne formation ?

Afin de sélectionner la formation qui vous correspond, vous devez prendre en compte plusieurs facteurs. Il s’agit d’abord de déterminer vos objectifs de carrière et d’identifier les compétences que vous souhaitez acquérir.

Examinez le contenu du programme, afin de vous assurer qu’il couvre les sujets pertinents et les technologies actuelles du domaine. Renseignez-vous aussi sur la réputation de l’institution ou de l’organisme de formation, et sur l’expérience et les qualifications des instructeurs.

Tenez également compte des modalités de formation proposées et choisissez celle qui correspond le mieux à votre emploi du temps et à votre style d’apprentissage. On distingue notamment les formations en ligne, en présentiel, à temps partiel et à temps plein.

N’oubliez pas non plus d’évaluer le coût de la formation par rapport à la valeur qu’elle offre en termes d’acquisition de compétences, de soutien pédagogique et de perspectives professionnelles…

Acquérir des compétences en développement web

Conseils et astuces pour bien réussir sa formation

Plusieurs pratiques peuvent maximiser vos chances de réussir votre formation de développeur web et d’en tirer pleinement profit.

Investissez-vous pleinement, en consacrant du temps et de l’énergie à vos études. Soyez assidu et discipliné dans votre travail.

La pratique régulière est également la clé pour renforcer vos compétences. Créez des projets personnels, résolvez des problèmes de programmation et participez à des défis en ligne pour mettre en pratique tout ce que vous apprenez.

Ne craignez jamais d’explorer de nouvelles technologies, langages et frameworks ! L’expérimentation vous permettra de découvrir de nouvelles approches et de développer votre créativité.

Apprendre à rechercher des solutions en ligne et à consulter la documentation des langages et outils que vous utilisez peut aussi vous être d’un précieux secours. Savoir trouver des réponses par vous-même est très important dans cette discipline.

Acceptez aussi les critiques constructives, et utilisez-les pour vous améliorer. Participez à des forums de discussion, rejoignez des communautés de développeurs et sollicitez les retours de vos pairs et de vos instructeurs.

Les opportunités de stages et de projets collaboratifs peuvent aussi vous permettre d’acquérir une expérience pratique et de développer votre réseau professionnel. Là encore, vous pourrez mettre en pratique vos compétences dans un environnement réel.

Même après la formation, continuez d’apprendre et de vous perfectionner en suivant des cours en ligne, en participant à des conférences et en restant informé des dernières tendances et technologies.

Conclusion : la formation développeur web, un cursus complet pour une carrière dans le numérique

La formation de développeur web représente une opportunité exceptionnelle pour commencer une vocation dans un domaine en perpétuelle évolution.

Que ce soit pour accéder à l’emploi de vos rêves, satisfaire votre passion pour la technologie ou contribuer à l’innovation numérique, il s’agit d’un terrain fertile pour la croissance et l’épanouissement professionnel.

Afin de devenir expert en développement web, vous pouvez choisir DataScientest ! Nos formations vous permettront de maîtriser tous les outils et techniques pour construire des applications et sites web.

Nos cursus s’effectuent intégralement via le web, et permettent d’obtenir un diplôme reconnu par l’État, un certificat de formation continue ou encore une certification Cloud de nos partenaires AWS et Azure.

Vous pouvez compléter nos parcours en BootCamp, formation continue ou alternance. Notre organisme est également éligible pour le CPF. Découvrez vite DataScientest !

Commencer une formation développeur web

 

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SHAP, pour l’interprétabilité des modèles d’IA

La capacité à comprendre et à expliquer les décisions prises par les modèles d’Intelligence Artificielle ou de Machine Learning est devenue primordiale. Ces technologies sophistiquées s’intègrent de plus en plus dans des domaines critiques tels que la santé, la finance ou encore la sécurité. Les solutions comme SHAP (SHapley Additive exPlanations) connaissent un essor fulgurant.

SHAP s’inspire des concepts de la théorie des jeux coopératifs, et offre une méthode rigoureuse et intuitive pour décomposer les prédictions des modèles en contributions individuelles de chaque caractéristiques.

Fondements théoriques de SHAP

Il est nécessaire d’analyser un tant soi peu les racines théoriques de SHAP afin de comprendre sa valeur ajoutée mais également la raison qui le rend efficace pour interpréter des modèles parfois complexes.

Théorie des jeux coopératifs

Cette théorie, une branche de la théorie des jeux, se concentre sur l’analyse des stratégies pour les groupes d’agents qui peuvent former des coalitions et partager des récompenses. Au cœur de cette théorie se trouve la notion de “valeur équitable”, une façon de distribuer les gains (ou les pertes) parmi les participants d’une manière qui reflète leur contribution individuelle. C’est dans ce contexte que la Valeur de Shapley.

La Valeur de Shapley

Il s’agit d’un concept mathématique, introduit par Lloyd Shapley en 1953, servant à déterminer la part juste de chaque joueur dans un jeu coopératif. Elle est calculée en considérant toutes les permutations possibles de joueurs et en évaluant l’impact marginal de chaque joueur lorsqu’il rejoint une coalition. En d’autres termes, elle mesure la contribution moyenne d’un joueur à la coalition, en tenant compte de toutes les combinaisons possibles dans lesquelles ce joueur pourrait contribuer.

Lien avec SHAP

Dans le contexte du machine learning, SHAP utilise la Valeur de Shapley pour attribuer une « valeur d’importance » à chaque caractéristique d’un modèle prédictif. Chaque caractéristique d’une instance de données est considérée comme un « joueur » dans un jeu coopératif où le « gain » est la prédiction du modèle.

Implications de la Valeur de Shapley en IA

Cette valeur représente une avancée significative dans l’interprétabilité des modèles d’IA. Elle permet non seulement de quantifier l’impact de chaque caractéristique de manière juste et cohérente, mais offre aussi une transparence qui aide à construire la confiance dans les modèles d’apprentissage automatique.

Comment fonctionne SHAP ?

Au cœur de SHAP se trouve l’idée de décomposer une prédiction spécifique en un ensemble de valeurs attribuées à chaque caractéristique d’entrée. Ces valeurs sont calculées de manière à refléter l’impact de chaque caractéristique sur l’écart entre la prédiction actuelle et la moyenne des prédictions sur l’ensemble des données. Pour y parvenir, SHAP explore toutes les combinaisons possibles de caractéristiques et leurs contributions à la prédiction. Ce processus utilise la Valeur de Shapley, que nous avons abordée précédemment, pour assurer une répartition équitable et précise de l’impact parmi les caractéristiques.

Prenons un exemple

Imaginons un modèle prédictif utilisé dans le secteur financier pour évaluer le risque de crédit. SHAP peut révéler comment des caractéristiques telles que le score de crédit, le revenu annuel et l’historique de remboursement contribuent à la décision finale du modèle. Si un client se voit refuser un crédit, SHAP peut indiquer quelles caractéristiques ont le plus influencé cette décision négative, fournissant ainsi des indicateurs pertinents.

Utilisation avec Python

Python propose une bibliothèque pour SHAP. Cette dernière permet aux utilisateurs de tirer pleinement parti des avantages de SHAP pour l’interprétabilité des modèles.

Installation

La première étape, est bien sûr l’installation de la bibliothèque

pip install shap

Une fois installée, il ne reste plus qu’à l’importer dans votre environnement : 

import shap

Préparation des données

Supposons que vous ayez un modèle de Machine Learning déjà entraîné, tel qu’un modèle de forêt aléatoire pour la classification (RandomForestClassifier). Vous aurez donc besoin d’un ensemble de données pour l’analyse : 

from sklearn.model_selection import train_test_split

from sklearn.ensemble import RandomForestClassifier

import pandas as pd

# Load and prepare datas

data = pd.read_csv('my_amazing_dataset.csv')

X = data.drop('target', axis=1)

y = data['target']

# Split train and test set

X_train, X_test, y_train, y_test =
train_test_split(X, y, test_size=0.2, random_state=42)
# Train the model

model = RandomForestClassifier(random_state=42)

model.fit(X_train, y_train)

Analyse SHAP

Après entraînement du modèle, l’utilisation de SHAP vous permettra d’analyser l’impact des caractéristiques. Pour la poursuite de cet exemple, nous pouvons utiliser le Explainer Tree.

# Create Explainer Tree
explainer = shap.TreeExplainer(model)

# Compute SHAP Values on the test set

shap_values = explainer.shap_values(X_test)

Visualisation des résultats

SHAP offre bien évidemment diverses options de visualisation pour interpréter les résultats. Ainsi, pour avoir un résumé quant à l’importance des caractéristiques : 

shap.summary_plot(shap_values, X_test)
Il est également possible d’examiner l’impact d’une caractéristique spécifique : 
# Need to initialize javascript in order to display the plots
shap.initjs()

# View impact

shap.plots.force(explainer.expected_value[0], shap_values[0])

Pour conclure

SHAP (SHapley Additive exPlanations) est un outil puissant et polyvalent pour l’interprétabilité des modèles de Machine Learning. En s’appuyant sur les principes de la théorie des jeux coopératifs et de la Valeur de Shapley, il offre une méthode rigoureuse pour décomposer et comprendre les contributions des caractéristiques individuelles dans les prédictions d’un modèle.

L’utilisation de la bibliothèque SHAP en Python démontre sa facilité d’intégration et de mise en œuvre dans le workflow de data science. De plus, avec une Intelligence Artificielle devenant de plus en plus omniprésente, l’interprétabilité des modèles ne peut pas se permettre d’être sous-estimée.

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Salaire d’un Data Engineer : Combien gagne un ingénieur Data ?

Le métier de data engineer est en plein essor, et les salaires sont à la hausse. En 2023, les data engineers en France gagnent en moyenne 60 000 € brut par an. Cependant, le salaire peut varier en fonction de différents facteurs, tels que le niveau d’expérience, les compétences, la localisation et le type d’entreprise.

Données salariales

Selon une étude de Glassdoor, le salaire médian des data engineers en France est de 55 000 € brut par an. Le salaire minimum est de 45 000 € brut par an, et le salaire maximum est de 75 000 € brut par an.

Les data engineers avec moins de 3 ans d’expérience gagnent en moyenne 45 000 € brut par an. Les data engineers avec 3 à 5 ans d’expérience gagnent en moyenne 50 000 € brut par an. Les data engineers avec plus de 5 ans d’expérience gagnent en moyenne 60 000 € brut par an.

Les data engineers travaillant dans les grandes entreprises technologiques ont tendance à gagner plus que ceux travaillant dans les petites entreprises. Les data engineers travaillant dans les industries de la finance ou de la santé ont également tendance à gagner plus que ceux travaillant dans d’autres industries.

Devenir Data Engineer

Facteurs influençant le salaire

En plus du niveau d’expérience et de l’industrie, d’autres facteurs peuvent influencer le salaire des data engineers, tels que :

  • Les compétences et les qualifications : Les data engineers avec des compétences et des qualifications spécifiques, telles que la connaissance de certaines technologies ou la maîtrise de certaines méthodologies, peuvent gagner plus.
  • La localisation : Les data engineers travaillant dans les grandes villes ont tendance à gagner plus que ceux travaillant dans les petites villes.
  • Le type d’entreprise : Les data engineers travaillant dans les grandes entreprises technologiques ont tendance à gagner plus que ceux travaillant dans les petites entreprises.

Conseils pour négocier un bon salaire

Voici quelques conseils pour négocier un bon salaire en tant que data engineer :

  • Faites vos recherches : Avant de négocier, il est important de faire vos recherches sur les salaires moyens de la profession. Vous pouvez utiliser des sources telles que Glassdoor ou Indeed pour obtenir des informations sur les salaires dans votre région et votre industrie.
  • Connaissez vos compétences : Il est également important de connaître vos propres compétences et qualifications. Vous pouvez utiliser vos expériences passées pour justifier votre demande de salaire.
  • Soyez confiant : Lors de la négociation, il est important d’être confiant et de défendre votre valeur. Il ne faut pas avoir peur de demander ce que l’on veut.
  • Soyez prêt à partir : Si vous n’êtes pas satisfait du salaire proposé, soyez prêt à partir. Cela montre à l’employeur que vous êtes sérieux dans vos demandes.

Conclusion

Le salaire des data engineers est en plein essor, et les perspectives d’emploi sont excellentes. En suivant les conseils ci-dessus, vous pouvez négocier un bon salaire et réussir dans votre carrière de data engineer.

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Certification AdminSys : Pourquoi et comment l’obtenir ?

Une certification d’administrateur système permet de démontrer une expertise en gestion de systèmes et d’infrastructures informatiques. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur cette accréditation très recherchée par les employeurs, notamment à l’ère du Cloud Computing !

Au sein de toute entreprise et organisation, la gestion efficace des systèmes informatiques est devenue cruciale pour le bon fonctionnement des opérations. L’informatique est devenue la pierre angulaire de toutes les industries.

Pour mener à bien cette mission de gestion, un professionnel joue un rôle central en veillant à ce que les infrastructures soient sécurisées, fiables et performantes : l’administrateur système.

Afin de prouver que vous avez les compétences requises pour exercer cette fonction vitale, et que les entreprises peuvent réellement compter sur vous, vous pouvez acquérir une certification. Voici tout ce qu’il faut savoir…

Qu’est-ce qu’un administrateur système ?

Souvent appelé sysadmin, l’administrateur système occupe une position centrale dans le fonctionnement de l’infrastructure informatique d’une organisation. Il est responsable de la gestion, de la maintenance et de l’optimisation des systèmes informatiques et des serveurs.

Ce spécialiste installe et configure les serveurs, les systèmes d’exploitation, les logiciels et toutes les applications nécessaires aux opérations. Il s’assure aussi que les systèmes soient sécurisés contre les menaces et les vulnérabilités, via la mise en place de politiques, de pare-feu et de correctifs.

En outre, il veille à ce que l’entreprise soit conforme aux réglementations en matière de sécurité des données. Son rôle est aussi de surveiller en permanence les performances des systèmes pour identifier les problèmes potentiels.

Il effectue une maintenance à la fois proactive et réactive pour garantir la disponibilité continue des services. Afin de garantir des performances optimales, il surveille et ajuste les ressources.

Ceci peut inclure l’ajout de matériel, la gestion de la virtualisation et l’optimisation des configurations. À l’heure du Cloud Computing, une maîtrise des plateformes comme AWS, Azure ou GPC est indispensable.

C’est également lui qui gère les comptes d’utilisateurs, les droits d’accès et les autorisations pour assurer la confidentialité des données et la collaboration efficace au sein de l’organisation !

Par ailleurs, il planifie et met en œuvre des stratégies de sauvegarde pour prévenir la perte de données. En cas de panne, c’est à lui d’assurer la récupération rapide et efficace.

Si un sysadmin est indispensable au sein d’une entreprise moderne, c’est parce qu’il assure à la fois la disponibilité des services et la sécurité des données, tout en optimisant les coûts et en réduisant autant que possible la complexité des infrastructures informatiques !

Qu’est-ce qu’une certification administrateur système ?

Venons en maintenant au sujet des certifications sysadmin. Il s’agit d’une accréditation professionnelle délivrée par des organismes réputés. Elle atteste que le titulaire possède toutes les compétences et les connaissances nécessaires pour gérer et maintenir efficacement les systèmes informatiques d’une organisation. C’est une validation formelle des compétences d’un professionnel dans les domaines tels que la gestion des serveurs, la sécurité des systèmes, la virtualisation, la gestion de réseau et bien plus encore.

Pour un professionnel, elle permet de renforcer sa crédibilité et d’augmenter ses opportunités de carrière en ouvrant la porte à des postes plus spécialisés et mieux rémunérés.

De plus, c’est la chance d’accéder à un vaste réseau de pairs et d’experts de l’industrie. L’intérêt est également d’évoluer avec les dernières technologies et les meilleures pratiques du secteur, même si vous êtes déjà sysadmin de longue date.

En tant qu’employeur, cette certification offre la garantie d’embauche des professionnels qualifiés et compétences et de profiter d’une meilleure gestion des risques liés à la cybersécurité.

C’est aussi l’assurance d’une amélioration de la productivité grâce à une gestion des systèmes améliorée, et la possibilité de répondre aux normes de sécurité telles que le RGPD dans l’UE.

Devenir Administrateur Système

Les meilleures certifications administrateur système

Il existe plusieurs certifications d’administrateur système hautement reconnues. Elles sont délivrées par différents organismes ou entreprises de l’industrie informatique. Voici un tour d’horizon des meilleures.

CompTIA Server+

Cette certification de niveau intermédiaire couvre un large éventail de compétences liées à la gestion de serveurs. Elle est conçue pour valider les compétences essentielles des administrateurs système en matière de maintenance, de dépannage et de gestion de serveurs physiques et virtuels.

L’examen aborde la gestion du matériel serveur, l’installation et la configuration de serveurs, la maintenance et le dépannage des serveurs, la gestion du stockage, ou encore la virtualisation et le cloud.

C’est une validation de hautes compétences en gestion de serveurs, pertinente pour un large éventail de rôles liés à l’administration système. Très prestigieuse, elle est reconnue par de nombreux employeurs de l’industrie.

Red Hat Certified System Administrator (RHCSA)

Cette certification délivrée par Red Hat atteste des compétences requises pour administrer et gérer des systèmes d’entreprise Linux. Elle est très reconnue dans son domaine, et constitue un réel atout pour les postes dans les entreprises utilisant cet OS.

Pour réussir l’examen, vous devez être capable d’installer et de configurer Red Hat Enterprise Linux, de gérer les utilisateurs et les groupes, d’administrer les systèmes et services, et d’assurer la sécurité du système. L’automatisation des tâches par le biais de scripts est également mise à l’épreuve.

Les professionnels Linux sont considérés comme des experts et sont très demandés. De plus beaucoup d’entreprises utilisent Red Enterprise Linux.

Cisco Certified Network Associate (CCNA)

Bien que principalement axée sur les réseaux, la certification Cisco Certified Network Associate (CCNA) est également pertinente pour les administrateurs système. Pour cause, elle couvre de nombreux aspects de la gestion réseau, de la sécurité et de la connectivité.

Les compétences en réseau sont essentielles pour tout sysadmin. Et pour passer l’examen CCNA avec succès, vous devrez maîtriser les concepts de base de réseautage et la configuration de routeurs et de commutateurs Cisco.

Il sera également nécessaire de savoir sécuriser et gérer le réseau, et de pouvoir résoudre les problèmes éventuels. C’est une très bonne certification pour tout professionnel de l’informatique travaillant dans des environnements réseau complexes, reconnue par de nombreuses entreprises du monde entier.

Microsoft Azure Administrator

Conçue par Microsoft, la certification Azure Administrator est conçue pour les professionnels souhaitant se spécialiser dans la gestion des infrastructures basées sur Azure : la plateforme de cloud computing de la firme américaine.

Elle atteste des compétences requises pour déployer, gérer et surveiller les ressources Azure et pour résoudre les problèmes courants.

L’examen porte sur la gestion des machines virtuelles Azure, du stockage, des identités Azure Active Directory, de la sécurité et de la conformité, et de la surveillance et l’optimisation des ressources Azure.

Face à l’adoption croissante du cloud Azure, les professionnels qualifiés sont très demandés. C’est la plateforme cloud la plus utilisée après Amazon Web Services ! En plus de permettre de travailler comme sysadmin, cette certification ouvre la porte à de nombreuses opportunités de carrière dans le cloud.

Se préparer à l’examen Azure Administrator

Comment choisir et obtenir votre certification sysadmin ?

Avant de choisir une certification, le plus important est de définir clairement vos objectifs. Vous devez vous spécialiser dans un domaine particulier comme la sécurité ou la gestion de serveurs. À l’heure actuelle, les certifications tournées vers le cloud sont les plus pertinentes.

Si vous désirez travailler dans une entreprise spécifique, renseignez-vous aussi sur les certifications particulières qu’elle exige. Outre vos aspirations, tenez compte de vos compétences actuelles.

Mieux vaut commencer par une certification accessible si vous débutez, et au contraire viser un niveau plus avancé si vous avez déjà de l’expérience. Faites aussi des recherches sur le marché de l’emploi dans votre région ou le secteur qui vous intéresse.

Après avoir sélectionné la certification qui convient à vos objectifs, la préparation à l’examen est cruciale pour réussir. Veillez à établir un calendrier de préparation en fonction de la date de l’examen, et à consacrer du temps à l’étude et à la pratique.

Concentrez-vous sur les domaines que vous avez le plus de mal à maîtriser. Vous pouvez consulter des livres, des vidéos et d’autres ressources en ligne pour développer votre expertise.

Toutefois, le meilleur moyen de vous préparer efficacement à cette épreuve est de choisir une formation de qualité dispensée par des instructeurs expérimentés. C’est ce que vous propose DataScientest pour la certification Microsoft Azure Administrator.

N’hésitez pas non plus à vous familiariser avec l’examen par le biais de simulateurs, et à mettre en pratique ce que vous apprenez dans un environnement de laboratoire virtuel.

Conclusion : la certification administrateur système, idéale pour démontrer votre expertise

En permettant de garantir vos compétences en administration système, une certification peut vous permettre de vous distinguer des autres candidats à un même poste au sein d’une entreprise.

C’est le meilleur moyen de progresser dans votre carrière et de démontrer votre expertise. Elle atteste non seulement de vos compétences techniques, mais aussi de votre engagement envers l’excellence dans le domaine du sysadmin.

Afin de mettre toutes les chances de votre côté pour l’obtenir, vous pouvez choisir DataScientest. Notre formation dédiée à Microsoft Azure vous permet de vous préparer et inclut le passage de l’examen de certification AZ-104 pour la certification Microsoft Azure Administrator.

À l’heure où de nombreuses entreprises abandonnent leurs infrastructures sur site pour s’envoler vers le cloud, il s’agit d’un excellent choix pour une carrière d’administrateur système !

En seulement cinq jours intensifs, cette formation en ligne vous fera découvrir les principes de base du cloud et les différents services de Microsoft Azure. Vous serez aussi initié aux meilleures pratiques pour créer et gérer les ressources Azure.

Par la suite, vous pourrez acquérir des compétences plus spécifiques en stockage, sauvegarde et gestion de machines virtuelles. À la fin du cursus, vous serez fin prêt pour passer l’examen AZ-104 et devenir certifié Azure Administrator !

Cette formation est éligible au CPF pour le financement, et notre organisme a le titre exclusif de Microsoft Learning Partner garantissant notre expertise. Tous nos professeurs ont le statut de Microsoft Certified Trainer. Découvrez vite DataScientest !

Préparer une certification en Cloud Computing

Vous savez tout sur la certification administrateur système. Pour plus d’informations sur le même sujet, découvrez notre dossier complet sur le cloud Azure et notre dossier sur le métier d’administrateur système !

Conseils

Plan de Reprise d’Activité (PRA) : un guide essentiel pour la continuité des entreprises

Un Plan de Reprise d’Activité (PRA) est essentiel dans une entreprise moderne pour assurer la continuité des opérations en cas de cyberattaque ou autre situation de crise. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur cette pratique, et le rôle clé de l’analyse de données.

Face aux nombreux risques de cybersécurité et autres incidents imprévisibles, il n’est pas toujours simple d’assurer la continuité des activités pour une entreprise.

Or, une interruption prolongée des opérations peut avoir des conséquences financières désastreuses, mettre en péril la confiance des clients et nuire à la réputation d’une organisation.

Afin d’éviter une telle catastrophe, il est essentiel de mettre en place un dispositif dénommé PRA : Plan de Reprise d’Activité.

Qu’est-ce qu’un PRA ?

Il s’agit d’un ensemble de procédures et de stratégies, visant à minimiser les perturbations et à rétablir rapidement les opérations après un événement imprévu.

L’objectif principal est d’assurer la continuité des activités les plus critiques, mais aussi de protéger les actifs de l’entreprise et donc de réduire les pertes financières.

Souvent confondu à tort avec le Plan de Continuité des Activités (PCA), le PRA est pourtant un concept bien distinct.

Alors que le PCA vise à garantir la continuité des opérations dans des conditions de fonctionnement dégradées, le PRA se concentre spécifiquement sur la reprise après un événement perturbateur majeur.

Maîtriser le PRA

Les étapes et composants du PRA

Pour être efficace, un PRA doit réunir plusieurs composants clés. La première étape est l’analyse et l’évaluation des risques potentiels auxquels l’entreprise est exposée.

Ceci implique d’identifier les menaces internes et externes, d’évaluer leurs impacts potentiels sur les opérations, et de prioriser les actions à entreprendre.

Après avoir cerné ces risques, la marche à suivre consiste à identifier les processus clés nécessitant d’être rétablis en priorité.

Il peut s’agir par exemple des activités telles que la production, la gestion des stocks ou encore la communication avec les clients. Tout dépend du secteur de l’entreprise et de son fonctionnement.

Pour chacun de ces processus critiques, des stratégies de reprise doivent être élaborées. On peut notamment mettre en place des sites de secourssécuriser les sauvegardes des données ou élaborer des plans de rechange pour les principaux fournisseurs.

Pendant cette période de reprise, une communication efficace avec les parties prenantes internes et externes est cruciale. De fait, un plan de communication détaillé doit être établi pour informer les employés, les clients, les partenaires commerciaux, les autorités et les médias sur la situation et les mesures prises.

Afin de s’assurer que tout le personnel soit bien préparé à réagir, des formations et des opérations de sensibilisation sont indispensables. Des équipes de gestion de crise doivent aussi être désignées et préparées pour prendre les décisions appropriées en cas d’incident.

Enfin, l’efficacité du PRA doit être régulièrement vérifiée. Ceci passe notamment par des exercices de simulation et des tests pratiques visant à évaluer sa fiabilité et à identifier les éventuelles lacunes à corriger.

Quels sont les avantages pour l’entreprise ?

En ayant un plan de reprise clair et exécuté à la lettre, les entreprises minimisent les temps d’arrêt et les pertes liées aux incidents. La reprise rapide des opérations limite les effets négatifs sur les revenus et la productivité.

C’est aussi un moyen de maintenir la confiance des clients, partenaires et investisseurs. L’entreprise reste capable de fournir produits et services de manière cohérente, même après un événement perturbateur.

Pour les entreprises de secteurs soumises à des réglementations et normes de conformité, un PRA aide à s’assurer que ces obligations légales soient respectées. Ceci peut éviter de lourdes sanctions et des litiges potentiels.

Enfin, une réaction rapide et efficace en situation d’urgence renforce la réputation et l’image de marque d’une organisation. Elle démontre qu’elle est digne de confiance et résistante face aux aléas.

Apprendre à élaborer un PRA

Le PRA à l’ère numérique

Avec la numérisation croissante des activités commerciales et l’essor des technologies modernes, les PRA ont évolué pour s’adapter aux défis spécifiques de cette nouvelle ère.

Désormais, la sauvegarde des données régulière et sécurisée des données est essentielle. Des procédures de sauvegarde automatisées doivent être mises en place, ainsi que des politiques de gestion et des mécanismes de récupération pour assurer l’intégrité et la disponibilité de la data en cas de sinistre.

Un PRA doit aussi inclure des mesures de sécurité pour prévenir, détecter et contre les cyberattaques. Les outils tels que les pare-feu, les logiciels de détection des intrusions ou les solutions de cryptage permettent de se protéger contre cette menace majeure.

Les technologies de cloud peuvent aussi aider à renforcer les PRA. Il est notamment possible d’utiliser des services de reprise dans le cloud pour stocker les données et les systèmes critiques. Ceci permet une reprise rapide et accroît la résilience.

L’importance de l’analyse de données

Le PRA est essentiel pour protéger les données sensibles utilisées dans les projets de Data Science. Les pratiques comme le cryptage et les sauvegardes backups font partie intégrante d’une stratégie efficace.

De l’autre côté, les techniques d’analyse de données avancées sont aussi au cœur du PRA. Elles permettent d’identifier les risques potentiels, d’évaluer l’impact des incidents sur les opérations, et d’optimiser les stratégies de reprise.

Le Machine Learning et l’IA peuvent aussi être exploités pour automatiser une partie du processus de reprise, ou pour détecter les anomalies encore plus rapidement.

Conclusion : le PRA, un dispositif de sécurité basé sur l’analyse de données

Face aux enjeux du numérique, une entreprise moderne ne peut plus se permettre de risquer une interruption d’activité.

Afin d’éviter les conséquences catastrophiques d’une fuite de données ou d’une cyberattaque, un PRA est désormais indispensable.

L’analyse de données est une composante essentielle de cette approche stratégique, car elle permet d’identifier les principales menaces et les processus les plus importants.

Afin d’apprendre à maîtriser cette discipline, vous pouvez choisir les formations DataScientest. Nos différents programmes permettent d’acquérir toutes les compétences requises pour devenir Data ScientistData Analyst ou Data Engineer.

Vous découvrirez le langage Python, très utilisé pour l’analyse de données, mais aussi les bases de données et les techniques de Machine Learning.

Nos cursus vous ouvrent les portes d’un domaine professionnel tourné vers l’avenir, et se complètent intégralement à distance. En fin de parcours, vous pourrez recevoir une certification délivrée par Mines ParisTech PSL Executive Éducation ou par nos partenaires cloud AWS et Microsoft AzureDécouvrez vite DataScientest !

Commencer une formation

Vous savez tout sur le PRA. Pour plus d’informations sur le même sujet, découvrez notre dossier sur le métier d’administrateur de sécurité informatique et notre guide sur l’analyse de données.

Formations

Formation en data marketing : Contenu et opportunités

Dans le monde où le marketing est en constante évolution, la capacité à comprendre et à exploiter les données est devenue un atout indispensable. C’est là qu’une formation en data marketing entre en jeu.

Il s’agit d’une opportunité exceptionnelle d’apprendre à mettre en place des stratégies de marketing basées sur l’analyse approfondie des données. C’est également un moyen d’acquérir les compétences nécessaires pour façonner l’avenir du marketing grâce à l’utilisation judicieuse du data management, de l’intelligence artificielle (IA) et du Machine Learning.

Découvrons ensemble les points clés abordés durant une formation en data marketing ainsi que leur importance dans votre capacité à mettre en place des stratégies de marketing pertinentes.

Qu’est-ce qu’une formation en data marketing ?

L’objectif d’une formation en data marketing est conçue pour apporter à un professionnel du data marketing les compétences nécessaires pour naviguer dans le paysage complexe des données et en tirer des informations exploitables.

Elle commence souvent par une solide compréhension des concepts de base tels que le data management, l’analyse des données et l’intelligence artificielle. Avant de plonger dans les détails techniques, il est crucial de bien comprendre les prérequis et les bases nécessaires pour suivre le rythme de cette formation intensive.

Se former au Data Marketing

1. Les fondamentaux du data marketing

L’un des piliers d’une formation en data marketing est l’analyse des données. En effet, cette compétence est utile aux spécialistes du marketing pour disséquer les informations provenant de multiples sources, qu’il s’agisse des médias sociaux, des campagnes publicitaires en ligne ou des interactions sur les sites web.

L’analyse des données permet de découvrir des tendances cachées, des préférences des clients et des opportunités émergentes. En comprenant en profondeur le parcours client, ils peuvent personnaliser leurs stratégies pour un impact maximal.

2. L’importance du data management

Une formation en data marketing inclu des cours centrés sur le data management, car la collecte, le stockage et la gestion efficace des données font partie du quotidien d’un spécialiste du data marketing.

Dans un monde de plus en plus axé sur les données, les entreprises doivent être capables de gérer de grandes quantités de données (Big Data), de manière organisée et sécurisée. Le data management garantit que les données soient accessibles, précises et pertinentes, ce qui constitue la base d’une stratégie data-driven réussie.

3. L’intégration de l’IA et du Machine Learning

Ce sont deux domaines connexes en plein essor et qui ont un impact profond sur le data marketing. Ces technologies permettent d’automatiser et d’affiner les processus d’analyse des données en identifiant des schémas complexes et en fournissant des prévisions précises.

L’IA peut être utilisée pour améliorer la connaissance client en analysant les données comportementales et en prédisant les futurs comportements d’achat. Les stratégies marketing peuvent ainsi être affinées pour cibler plus efficacement les segments de clients spécifiques.

4. La stratégie data au centre de la formation

L’élaboration d’une stratégie data-driven est l’un des objectifs clés de toute formation en data marketing. Les étudiants apprennent à exploiter les données pour pouvoir prendre des décisions éclairées et orienter leurs campagnes marketing. Cela implique d’identifier les KPIs pertinents, de surveiller les performances des campagnes en temps réel et d’ajuster les stratégies en fonction des données en temps réel. Une stratégie data permet une agilité et une réactivité inégalées dans un environnement marketing en constante évolution.

5. La connaissance client pour réussir une stratégie marketing

Une compréhension approfondie des clients est au cœur du data marketing. Les données collectées fournissent des informations sur les préférences, les comportements d’achat et les tendances des clients. Cela permet de personnaliser les messages marketing, d’optimiser l’expérience utilisateur et de créer des relations plus solides avec les clients.

Une formation en data marketing enseigne aux participants comment transformer ces données en un avantage concurrentiel, en offrant une proposition de valeur unique à chaque client.

S’inscrire à une formation Data Marketing

Pourquoi les stratégies marketing actuelles doivent être basées sur les données ?

À une époque où l’information est abondante et où les consommateurs interagissent constamment avec des plateformes numériques, les stratégies marketing traditionnelles ne suffisent plus pour atteindre efficacement les publics cibles. C’est là que la formation en data marketing prend tout son sens. En intégrant les dernières avancées en matière d’analyse de données, de Machine Learning et d’intelligence artificielle, cette formation apporte aux apprenants tous les outils nécessaires pour élaborer des campagnes qui non seulement attirent l’attention, mais qui engagent également les consommateurs sur un niveau plus profond.

Le data marketing et les opportunités professionnelles

Outre l’acquisition de compétences techniques en marketing, une formation en data marketing ouvre également la voie à de nombreuses opportunités professionnelles. Les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs reconnaissent la valeur des experts du data marketing. Ils sont capables d’exploiter les données pour prendre des décisions éclairées.

Les diplômés de ces formations peuvent travailler en tant qu’analystes de données marketing, gestionnaires de campagnes numériques, consultants en stratégie data ou même fonder leurs propres agences spécialisées en data marketing.

La formation en data marketing : une carrière centrée sur la Data

Alors que nous avançons vers un avenir de plus en plus axé sur les données, les compétences en data marketing deviennent par conséquent essentielles pour rester compétitif sur le marché. Cette formation en data marketing permet aux spécialistes du marketing de passer de simples observateurs à des acteurs proactifs qui façonnent activement leurs stratégies en fonction des données.

L’intégration réussie de l’analyse des données, du data management et des technologies émergentes telles que l’intelligence artificielle et le Machine Learning peut transformer la manière dont les entreprises interagissent avec leurs clients et stimulent leur croissance.

Conclusion

Une formation en data marketing offre bien plus que des compétences techniques. C’est une passerelle vers une nouvelle ère de marketing où les stratégies ne sont plus basées sur des suppositions, mais sur des données tangibles et exploitables.

Les professionnels du marketing formés dans ce domaine sont bien positionnés pour répondre aux exigences actuelles et anticiper les tendances afin de pouvoir innover dans un paysage en constante évolution. Que ce soit pour renforcer les parcours clientsoptimiser les campagnes marketing ou façonner l’avenir de l’entreprise, une formation en data marketing offre des connaissances et des compétences inestimables pour réussir dans le monde du marketing axé sur les données.

Débuter une formation en Data Marketing

Vous savez tout désormais sur la formation en data marketing. Pour plus d’informations sur ce sujet, n’hésitez pas à parcourir notre dossier sur le data management et notre dossier sur le data marketing.

Formations

Formation cloud : pourquoi et comment devenir expert AWS ou Azure ?

Faut-il suivre une formation cloud pour propulser votre carrière vers de nouveaux horizons ? L’informatique en nuage s’impose en entreprise, et sa maîtrise devient essentielle pour les professionnels. Découvrez pourquoi et comment acquérir cette expertise !

Afin de profiter de ses nombreux avantages, de plus en plus d’entreprises migrent vers le cloud computing.

Cette technologie apporte des bénéfices considérables en termes de coût, d’évolutivité, d’accessibilité, de sécurité, d’innovation et permet même de réduire son empreinte carbone.

Toutefois, pour en tirer pleinement profit, des compétences techniques sont indispensables. Pour cette raison, suivre une formation cloud permet d’acquérir une expertise très recherchée.

Pourquoi suivre une formation cloud ?

Au cours de la dernière décennie, le cloud a transformé le fonctionnement des entreprises. Même les métiers non techniques migrent vers cette technologie.

De nombreuses entreprises ont remplacé leur infrastructure informatique locale traditionnelle par le cloud computing, et le marché mondial est passé de 24 à 156 milliards de dollars entre 2010 et 2020.

À l’heure actuelle, selon O’Reilley, plus de 90% des organisations utilisent le cloud computing. Et cette tendance va se poursuivre à l’avenir.

Par conséquent, les experts peuvent très facilement trouver un emploi aussi bien dans les petites entreprises qu’au sein des plus larges organisations.

Et les salaires proposés sont attractifs. D’après le BLS des États-Unis, la rémunération annuelle moyenne pour un architecte réseau travaillant sur le cloud atteint par exemple 120 000 dollars.

En France, d’après Talent.com, le salaire annuel moyen pour un administrateur cloud avoisine 40 000 euros.

De manière générale, face à l’adoption massive du cloud en entreprise, une formation est désormais essentielle pour tous les professionnels de l’informatique. Ceci inclut les experts en cybersécurité, en développement de logiciels, en l’ingénierie de données ou même en machine learning.

Commencer une formation cloud

Les différents types de formations cloud

Il existe une large variété de formations cloud. Certaines s’adressent aux utilisateurs finaux, à savoir les professionnels qui utilisent les applications et services cloud.

Ceci inclut les logiciels de traitement de texte, les plateformes de stockage de données ou même les services de vidéoconférence comme Zoom et Microsoft Teams.

L’usage de ces solutions ne requiert pas d’expertise technique majeure, mais nécessite tout de même une compréhension fondamentale du cloud afin de les exploiter de manière optimale.

Face à la grande diversité des services, une large variété de professionnels peuvent être amenés à utiliser le cloud. Par exemple, les Data Engineers habitués à des logiciels on-premise doivent apprendre à manier les solutions en nuage.

Il existe aujourd’hui des services cloud pour la bureautique, la gestion de relation client, les RH, la comptabilité, la collaboration, le marketing ou encore le e-commerce. Et les catalogues des fournisseurs sont en constante expansion.

De même, les solutions verticales sont des applications spécifiques à un secteur d’activité visant à répondre à leurs besoins. En guise d’exemple, on peut citer un logiciel de gestion de dossier médical électronique en SaaS pour le secteur de la santé.

D’autres formations sont conçues pour les professionnels de l’informatique. Il s’agit notamment des administrateurs réseau, des ingénieurs système ou des architectes cloud.

Ce type de cursus leur permet d’acquérir des compétences pour la migration vers le cloud, la gestion des services, la conception d’architectures ou encore la cybersécurité.

En outre, les formations pour développeurs sont dédiées aux personnes souhaitant concevoir et construire des applications et des services cloud.

Elles permettent notamment d’acquérir des compétences en automatisation de processus et en intégration des services cloud.

Quelles compétences acquérir par une formation cloud ?

Une bonne formation cloud doit tout d’abord permettre de comprendre les bases du cloud computing, de découvrir les différentes catégories de services et les principales plateformes existantes.

Le programme doit couvrir les concepts tels que la gestion des identités et la gouvernance, la configuration du réseau virtuel, la gestion du stockage, le déploiement des ressources informatiques ou encore le monitoring.

Elle doit aussi conférer la capacité de diagnostiquer et de résoudre rapidement les problèmes de sécurité, de performance ou de disponibilité affectant les services cloud.

Enfin, les professionnels du cloud doivent être en mesure de travailler en équipe et de communiquer efficacement. Un cursus de qualité doit donc aborder ces notions.

Débuter une formation cloud

Les certifications cloud

Tous les principaux fournisseurs de cloud proposent des certifications permettant de valider la maîtrise de leurs plateformes, ou de services destinés à des métiers spécifiques.

Par exemple, AWS Solutions Architect démontre la capacité à déployer, gérer et utiliser les différents services Amazon Web Services.

Chez Microsoft, la certification AZ-900 Azure Fundamentals requiert une connaissance des principaux services et du fonctionnement de la plateforme. De même, AZ-104 Azure Administrator indique une expertise en implémentation, gestion et surveillance d’un environnement Azure.

Les utilisateurs de Google Cloud peuvent opter pour la certification Google Associate Cloud Engineer, tandis qu’IBM propose le titre Certified Technical Advocate pour sa plateforme.

Hormis les fournisseurs, plusieurs organisations délivrent des certifications hautement reconnues. On peut citer pour exemple le Certificate of Cloud Security Knowledge (CCSK) de la Cloud Security Alliance, focalisé sur la sécurité du cloud.

Parmi les certifications destinées à des spécialistes de l’informatique, Microsoft Azure DP-203 s’adresse par exemple aux Data Engineers. Elle confirme l’aptitude à l’ingénierie des données sur le cloud, à l’aide de services tels que Spark, Azure Synapse SQL ou Azure Data Factory.

Pour obtenir ces certifications, il est toutefois nécessaire de réussir un examen. Suivre une formation cloud peut donc aider à se préparer, afin d’atteindre le succès dès la première tentative.

Comment suivre une formation cloud ?

Il existe de nombreux cours, tutoriels, vidéos et autres simulateurs sur le web permettant d’apprendre les bases du cloud computing afin de pouvoir travailler avec cette technologie.

Par exemple, les MOOC (Massive Open Online Courses) sont des ressources populaires offertes gratuitement par les universités et d’autres organisations pour permettre à tout un chacun de s’initier à son rythme.

Les fournisseurs de services cloud tels que AWS, Microsoft Azure et Google Cloud Platform proposent également une documentation complète en ligne et des guides de formations pour apprendre à manier leurs plateformes respectives.

Toutefois, le meilleur moyen de la maîtriser est de suivre une formation complète. En choisissant DataScientest, vous pourrez compléter un cursus à distance afin d’acquérir une certification professionnelle AWS, Microsoft Azure ou Google Cloud.

Nos formations s’effectuent intégralement en ligne, et permettent d’assimiler toutes les compétences requises pour réussir l’examen de certification souhaité. Le passage de l’épreuve est compris dans le programme.

S’inscrire à une formation cloud

Conclusion : une formation cloud pour l’informatique de demain

Au fil des années à venir, le cloud computing va continuer à se démocratiser en entreprise. Cette technologie sera bientôt la principale approche de l’informatique.

Par conséquent, suivre une formation cloud permet d’acquérir une qualification tournée vers l’avenir. Les professionnels de AWS, Microsoft Azure et Google Cloud seront de plus en plus recherchés.

En choisissant DataScientest, vous mettez toutes les chances de votre côté pour obtenir une certification Microsoft Azure ou AWS.

Ce précieux titre vous permettra de démontrer votre maîtrise du cloud, et de vous distinguer des autres candidats auprès des employeurs.

Notre organisme détient les statuts officiels de Microsoft Learning Partner et AWS Training Partner, et nos formations sont éligibles au CPF pour le financement. Découvrez DataScientest !

Vous savez tout sur les formations cloud. Pour plus d’informations sur le même sujet, découvrez notre dossier complet sur le Cloud Computing et notre dossier sur les certifications cloud.

Formations

Administrateur Cloud : En quoi consiste ce métier ?

Alors que le Cloud occupe une place toujours plus importante en entreprise, le rôle d’administrateur cloud est désormais essentiel pour la gestion des infrastructures technologiques. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur ce métier d’avenir, et les formations existantes pour l’exercer !

Depuis le début des années 2000, le Cloud Computing a connu un véritable essor. Dans tous les secteurs, les entreprises adoptent massivement les différents types de services tels que SaaSIaaS et PaaS.

Parmi les principaux fournisseurs de Cloud, on compte notamment le pionnier Amazon Web Services, mais aussi Microsoft AzureGoogle Cloud Platform ou encore Oracle Cloud.

De nombreuses organisations abandonnent leurs infrastructures sur site et migrent vers ces plateformes cloud. En conséquence, des professionnels de l’informatique capables de gérer les ressources, configurer les environnements et surveiller les performances sont devenus indispensables : les administrateurs cloud.

Qu’est-ce qu’un administrateur cloud ?

Se former au cloud computing

Ce professionnel est chargé de gérer et de superviser les environnements Cloud des entreprises. Il veille au bon fonctionnement des infrastructures, et garantit la disponibilité des services et la sécurité des données. Contrairement aux administrateurs système traditionnels, ce rôle moderne exige une compréhension approfondie des technologies Cloud, ainsi qu’une connaissance des différents fournisseurs et de leurs services.

Afin de maintenir les infrastructures Cloud opérationnelles et efficaces, ce métier englobe plusieurs responsabilités essentielles.

Tout d’abord, l’administrateur Cloud est chargé de la gestion des infrastructures. Il doit déployer, configurer et gérer les ressources telles que les machines virtuelles, les conteneurs, les bases de données et les réseaux.

Sa mission est de s’assurer que les infrastructures sont dimensionnées de manière appropriée pour répondre aux besoins des applications et utilisateurs finaux.

En outre, il s’occupe de la surveillance et de l’optimisation des performances : une tâche cruciale pour garantir une expérience utilisateur fluide. Il met en place des outils de surveillance et d’analyse, afin d’identifier les goulots d’étranglement, les pics de charge et les problèmes de latence.

C’est ce qui lui permet de prendre les mesures nécessaires pour optimiser les performances, et pour résoudre tous les problèmes éventuels.

Une autre préoccupation majeure liée au cloud est bien entendu la sécurité des données. Afin de protéger ces précieuses ressources, les administrateurs doivent mettre en place des mesures appropriées tout en veillant à ce que les infrastructures soient conformes aux réglementations telles que le RGPD.

En cas d’incident ou de panne, cet expert est également responsable de la résolution rapide et efficace des problèmes. Il doit disposer de compétences en dépannage, et pouvoir se coordonner avec les fournisseurs de services en cas de besoin.

Enfin, l’administrateur cloud doit être capable de développer des scripts pour automatiser et orchestrer les tâches les plus récurrentes comme le provisionnement des ressources, la sauvegarde des données et la gestion des mises à jour. Ceci lui permet d’accroître sa productivité.

Qu’apporte un administrateur Cloud à son entreprise ? Quels sont les avantages ?

En employant un administrateur Cloud, une entreprise bénéficie de nombreux avantages. D’abord, la gestion proactive des ressources Cloud permet d’ajuster rapidement les capacités en fonction de la demande.

Ceci permet aux organisations de s’adapter facilement aux fluctuations du trafic et de faire face à la croissance sans pour autant perturber les opérations.

De même, la gestion efficace des ressources permet de rationaliser les coûts d’exploitation. Les administrateurs peuvent identifier et supprimer les ressources inutilisées, optimiser l’allocation et mettre en place des politiques de gestions des coûts pour éviter les dépenses excessives.

Ils peuvent également déployer des stratégies de haute disponibilité pour garantir une accessibilité constante aux services Cloud. Les techniques comme la répartition de charge, la redondance des données et les sauvegardes régulières minimisent les temps d’arrêt et assurent une continuité des opérations.

Enfin, l’administration Cloud permet d’accélérer le déploiement des applications grâce à l’automatisation des processus ou à la simplification des tests et des mises à jour. Les environnements de développement et de pré-production agiles favorisent l’innovation et la mise sur le marché rapide.

Maîtriser l’administration cloud

Le rôle de l’administrateur Cloud dans la Data Science

Au sein des entreprises exploitant la science des données, l’administrateur Cloud travaille en étroite collaboration avec les équipes de Data Scientists. Il est d’abord responsable du provisionnement des ressources nécessaires aux projets. Ceci peut inclure la création de machines virtuelles, de clusters de calcul ou de bases de données.

Ces ressources doivent être correctement configurées pour répondre aux besoins spécifiques des professionnels.

Un administrateur intervient aussi sur la gestion des environnements de développement, nécessaires aux Data Scientists pour explorer, nettoyer et analyser les données. Il joue un rôle clé dans leur configuration et leur maintenance, notamment via l’installation et la configuration de bibliothèquesframeworks et outils dédiés.

En outre, la Data Science requiert souvent des pipelines de données complexes permettant l’ingestion, le nettoyage, la transformation et l’analyse des données.

La mise en place et la gestion de ces pipelines repose sur l’administrateur, à travers l’utilisation d’outils d’orchestration comme Apache Airflow ou Kubernetes pour gérer les flux de travail.

Cet expert peut aussi être amené à mettre en place l’infrastructure nécessaire pour l’entraînement, le déploiement et l’inférence des modèles de Machine Learning. Il veille à ce que les ressources comme les GPU soient disponibles et configurées comme il faut.

En cas d’utilisation de données sensibles et confidentielles, l’administrateur se charge de mettre en place les mesures de protection comme le chiffrement des données, l’authentification et l’autorisation, ainsi que la gestion des accès.

Enfin, aux côtés des équipes de Data Science, il optimise les performances des environnements et infrastructures grâce à l’utilisation d’outils de surveillance pour identifier les points faibles.

Pourquoi et comment devenir administrateur Cloud ?

En raison des nombreux bénéfices qu’ils apportent, les administrateurs cloud sont très recherchés et hautement rémunérés par les entreprises. En France, selon Glassdoor, le salaire annuel moyen pour cette profession dépasse les 30 000 euros.

Il existe plusieurs certifications hautement reconnues dans le domaine de l’administration cloud, validant les compétences d’un professionnel auprès des employeurs potentiels.

Par exemple, Amazon Web Services délivre la certification AWS Certified SysOps Administrator – Associate. Elle démontre l’aptitude à déployer, gérer et exploiter des applications sur cette plateforme cloud, et les compétences liées à la configuration des services AWS.

De même, Microsoft propose une certification Azure Administrator Associate. Elle met l’accent sur la gestion et la mise en œuvre des services Azure, et atteste de compétences pour gérer les identités, les ressources, les réseaux et les applications sur ce Cloud.

La certification Google Cloud Certified – Associate Cloud Engineer se focalise quant à elle sur les compétences requises pour déployer et gérer des applications sur GCP. Il s’agit notamment de la configuration des ressources, de la gestion des réseaux et de la sécurité des données.

Outre ces titres délivrés par les principaux vendeurs de cloud, la certification CompTIA Cloud+ couvre les compétences générales de l’administration Cloud, indépendamment d’un fournisseur spécifique.

Les sujets abordés incluent la virtualisation, la migration, la sécurité des données, la gestion des opérations et la résolution des problèmes.

De leur côté, les administrateurs Cloud travaillant avec la plateforme open-source de gestion d’infrastructures OpenStack peuvent opter pour la certification Certified OpenStack Administrator (COA).

Devenir administrateur cloud

Tendances et futur de l’administration Cloud

Le Cloud est une technologie encore émergente, et le domaine de l’administration évolue constamment pour répondre aux besoins changeants des entreprises.

Les organisations adoptent de plus en plus une approche multicloud ou hybride, combinant plusieurs fournisseurs de services et les infrastructures sur site.

De fait, un administrateur Cloud doit être en mesure de gérer ces environnements complexes et de mettre en place des stratégies de migration et d’interopérabilité efficaces.

Ce secteur est également transformé par l’essor de l’intelligence artificielle et du Machine Learning. Ces technologies sont utilisées pour l’automatisation des tâches, l’optimisation des performances, la détection des anomalies ou l’amélioration de la sécurité.

Une autre technologie devenue populaire pour la gestion des applications dans le Cloud est celle des conteneurs, avec des outils comme Docker et Kubernetes. Les administrateurs doivent impérativement acquérir des compétences en matière de déploiement et d’orchestration pour coordonner efficacement les ressources et services.

Enfin, face à l’explosion des violations de données, la sécurité devient une priorité absolue. Les mesures comme le chiffrement de données, l’authentification multifacteurs et la surveillance proactive sont indispensables.

Conclusion : l’administrateur Cloud, précieux allié des équipes de Data Science

Le Cloud a remplacé les environnements sur site, et constitue désormais la principale approche de l’informatique en entreprise.

L’administrateur Cloud joue donc un rôle crucial pour la gestion des infrastructures technologiques modernes, et sa présence est essentielle pour le succès des projets de Data Science.

Toutefois, cet expert doit faire face à de nombreux défis comme la complexité croissante du cloud, l’intensification des menaces de cybersécurité ou encore l’évolution des technologies. Il est donc indispensable de suivre une formation pour acquérir les notions requises pour surmonter ces obstacles.

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