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Écran d'ordinateur affichant le logo PyTorch avec des lignes de code en arrière-plan, illustrant le développement en intelligence artificielle avec PyTorch.
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PyTorch : Boostez Vos Projets d’IA

PyTorch est devenu un acteur central dans le domaine de l’intelligence artificielle et du deep learning, grâce à sa flexibilité et son approche intuitive. Que vous soyez chercheur, développeur ou simplement curieux des avancées en IA, ce framework open source propose des outils performants pour concevoir, former et optimiser des modèles avancés. Dans cet article, nous vous invitons à explorer les fonctionnalités principales de PyTorch, ses divers champs d’application ainsi que des techniques pour maximiser son potentiel dans vos projets d’apprentissage automatique.

Qu’est-ce que PyTorch et pourquoi l’utiliser ?

PyTorch est une bibliothèque open source développée par Meta, conçue pour transformer le paysage du deep learning et du machine learning. S’appuyant sur la bibliothèque Torch, PyTorch propose une plateforme intuitive en Python et une architecture modulaire qui simplifie la création et le déploiement de modèles d’intelligence artificielle. Que vous travailliez dans la recherche, la formation de modèles ou leur mise en production, PyTorch offre une flexibilité exceptionnelle pour accélérer les cycles de développement.

Son atout majeur réside dans son interface Pythonique fluide, particulièrement adaptée aux modèles complexes comme ceux utilisés en vision par ordinateur et en traitement du langage naturel (NLP). Grâce à sa gestion des graphes de calcul dynamiques, les développeurs peuvent ajuster leurs réseaux neuronaux à la volée. PyTorch bénéficie également d’une accélération GPU native via CUDA et offre une compatibilité avec des outils comme ONNX, facilitant ainsi la portabilité des modèles, que ce soit pour des environnements cloud ou sur appareils mobiles.

Outre son intégration avec d’autres frameworks comme TensorFlow, PyTorch offre une compatibilité avec des ressources GPU puissantes, telles que le H100 ou ROCm, pour optimiser encore davantage l’efficacité. Son écosystème, soutenu par une communauté active, propose une documentation détaillée, des tutoriels, ainsi que des outils comme PyTorch Lightning et DataLoader pour une gestion lumineuse des datasets et des modèles. Des bibliothèques complémentaires comme scikit-learn ou XGBoost permettent également de couvrir des cas d’usage avancés en machine learning.

En adoptant PyTorch, vous accédez non seulement à un outil robuste mais à un véritable écosystème. Des modules comme PyTorch Profiler pour l’optimisation ou Cupy pour des calculs massifs ajoutent à sa puissance. Que vous cherchiez à explorer des modèles comme le DCGAN ou à mettre en œuvre des concepts avancés comme « Attention Is All You Need », PyTorch répond à tous les besoins des développeurs et chercheurs d’aujourd’hui.

Les fondamentaux des tenseurs PyTorch

Les tenseurs sont au cœur même de PyTorch, servant de structure de données essentielle pour toutes les opérations. Que vous exploriez des projets en vision par ordinateur ou en NLP, ces tableaux multidimensionnels, similaires aux tableaux NumPy, offrent un avantage clé : l’accélération GPU. Avec un support natif pour CUDA et ROCm, les performances de PyTorch s’adaptent aux périphériques modernes pour des calculs rapides et efficaces.

La manipulation et la transformation des données se font de manière simple grâce à des opérations mathématiques intégrées. Les interactions fluides avec NumPy et d’autres bibliothèques comme TensorFlow renforcent encore plus la flexibilité de PyTorch.

Voici quelques notions clés liées aux tenseurs :

  • Taille (Size) : Grâce à size(), cette propriété indique le nombre d’éléments par dimension, un paramètre crucial pour gérer vos modèles et datasets.
  • Stride : Avec stride(), on détermine l’espacement mémoire entre les éléments, pertinent pour les réseaux complexes.
  • Storage : PyTorch gère les données en mémoire linéairement, facilitant leur accès avec ses API efficaces.
  • Transposition et redimensionnement : Les opérations comme la transposition ou la fonction view() permettent de modifier la forme des tenseurs sans impact mémoire.
  • Contiguïté et indices : Une organisation optimisée et une gestion aisée des dimensions garantissent un calcul plus rapide dans les frameworks parallèles.
  • Gestion des périphériques : La méthode to() simplifie le transfert entre CPU et GPU pour des modèles distribués.

Un des points forts de PyTorch est sa différenciation automatique, au cœur du module torch.autograd. En configurant requires_grad=True, PyTorch génère un graphe dynamique des opérations, rendant possible le calcul automatisé des gradients lors de la propagation arrière grâce à backward(). Cela accélère les développements, notamment pour des architectures complexes comme celles explorées avec PyTorch Lightning.

L’écosystème de PyTorch, enrichi par des outils comme PyTorch BigGraph et PyTorch Profiler, offre tout le nécessaire pour concevoir et entraîner des modèles avancés. Que vous travailliez localement ou sur le cloud via Miniconda, PyTorch est l’outil de choix pour les experts et débutants en deep learning.

Domaines d’application

Computer Vision

Grâce à TorchVision, PyTorch se distingue en vision par ordinateur. TorchVision permet de manipuler les images, de la classification à la segmentation. En combinant des modèles pré-entraînés pour l’apprentissage par transfert, cette bibliothèque vous fait non seulement gagner du temps, mais améliore également les performances. De plus, TorchVision s’intègre aisément avec OpenCV pour le prétraitement des images. L’utilisation des GPUs via CUDA en fait une solution puissante pour des applications en temps réel, comme la reconnaissance faciale et la détection d’objets.

Natural Language Processing

En NLP, PyTorch prend en charge les architectures avancées comme les LSTM ou GRU pour traiter des séquences complexes. Par exemple :

  • Traduction automatique en temps réel grâce à torch.nn.LSTM.
  • Reconnaissance vocale via torch.nn.GRU.
  • Formation de modèles de compréhension du langage naturel renforcée par la différenciation automatique.

Pour les projets industriels, des outils comme Hugging Face complètent idéalement cet écosystème en offrant des modèles pré-entraînés clé en main.

Équipe collaborant sur un projet PyTorch avec un graphique de données sur un ordinateur portable à une table de réunion.

Recommender Systems

Avec TorchRec, PyTorch excelle dans les systèmes de recommandation. Voici une rapide comparaison :

Caractéristique TorchRec Approche Classique
Performance Optimisée pour le calcul distribué Limitée aux ressources locales
Mise à l’échelle Gestion intuitive des grands ensembles Nécessite une configuration manuelle
Flexibilité Modèles personnalisables Modèles prédéfinis

TorchRec s’impose comme une solution incontournable pour des projets comme les plateformes de streaming ou les recommandations e-commerce.

Comment créer des réseaux neuronaux avec PyTorch ?

La création de réseaux neuronaux débute avec le package torch.nn. En héritant de nn.Module, il est facile de construire des architectures complexes. Voici les étapes :

  1. Initialisez le modèle en héritant de nn.Module.
  2. Définissez les couches nécessaires dans la méthode __init__.
  3. Implémentez la méthode forward pour définir le chemin des données.
  4. Ajoutez des fonctions d’activation comme ReLU entre les couches.
  5. Créez une instance de votre modèle et validez avec des tenseurs fictifs.
  6. Ajustez l’architecture selon vos besoins spécifiques.

Pour l’optimisation de modèle, PyTorch se distingue encore grâce au module autograd qui automatise le calcul des gradients. Une formation efficace inclut des optimisations via Adam ou SGD.

Optimisation des modèles PyTorch

Pour entraîner efficacement vos modèles, torch.nn et ses classes prédéfinies permettent une construction simplifiée. Voici des pratiques clés :

  • Réinitialisez les gradients avec optimizer.zero_grad().
  • Activez le mode évaluation (model.eval()) pendant l’inférence.
  • Utilisez le mode AMP (Mixed Precision) pour des gains de performance.
  • Sauvegardez uniquement le state_dict pour une flexibilité accrue lors du transfert.

Grâce à des outils comme PyTorch Profiler et des intégrations avec CUDA, PyTorch se prête idéalement à des projets de grande envergure.

PyTorch, grâce à ses fonctionnalités avancées, son écosystème riche et sa large communauté, est aujourd’hui un choix incontournable pour l’intelligence artificielle. Que ce soit pour des projets en vision par ordinateur, NLP ou systèmes de recommandation, PyTorch offre des solutions adaptées à vos besoins pour repousser les limites technologiques et obtenir des modèles performants dans divers domaines. Avec des mises à jour régulières, ce framework continue de définir les standards du deep learning.

Personne utilisant un ordinateur portable pour travailler sur un Jupyter Notebook, illustrant des fonctionnalités comme le téléchargement et l'installation sur Windows.
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Jupyter Notebook : 6 étapes essentielles pour le maîtriser efficacement

Dans l’univers de la programmation interactive et de l’analyse de données, Jupyter Notebook s’est imposé comme un outil incontournable. Cet environnement open-source constitue une solution idéale pour combiner code en direct, visualisations, équations mathématiques et explications claires dans un même document. Que vous soyez débutant en quête des bases ou expert souhaitant optimiser vos projets Python, cet article vous guidera à travers les nombreuses possibilités offertes par Jupyter Notebook tout en partageant des conseils pratiques adaptés à vos besoins.

Définition et présentation générale de Jupyter Notebook

Jupyter Notebook représente une avancée essentielle dans le domaine de la programmation interactive, et particulièrement en Python. Cette application web open-source, développée par le Projet Jupyter, permet de créer et de partager des documents dynamiques mêlant code actif, équations mathématiques, visualisations graphiques et texte explicatif.

Avec son environnement de développement interactif, elle a transformé la collaboration entre développeurs, data scientists et chercheurs. Jupyter Notebook s’articule autour de trois éléments principaux :

  • Une application web ergonomique pour l’écriture et l’interaction ;
  • Des kernels supportant divers langages comme Python, R ou Julia ;
  • Des fichiers autonomes regroupant des scripts, résultats analytiques et documentation.

Grâce à ces fonctionnalités, Jupyter Notebook s’impose comme un outil incontournable pour la programmation scientifique, le machine learning ou encore l’analyse de données dans des environnements de big data.

Installation et configuration

Découvrir Jupyter Notebook commence par une installation et une configuration simples, adaptées aussi bien aux débutants qu’aux professionnels. Voici les étapes essentielles :

  1. Assurez-vous que Python 3.3 ou une version ultérieure est installé. Pour une solution tout-en-un, Anaconda inclut Jupyter Notebook directement.
  2. Mettez à jour votre gestionnaire de paquets Python avec : pip3 install --upgrade pip.
  3. Installez Jupyter Notebook en utilisant la commande : pip3 install jupyter. Anaconda peut alternativement simplifier le processus d’installation sur Windows ou autres plateformes.
  4. Lancez votre serveur avec : jupyter notebook. L’interface utilisateur s’ouvre dans un navigateur.
  5. Pour personnaliser l’installation, générez un fichier de configuration avec : jupyter notebook --generate-config.
  6. Modifiez le fichier jupyter_notebook_config.py pour définir des paramètres avancés comme votre chemin par défaut ou vos connexions réseau.

Ces étapes permettent aussi d’intégrer Jupyter Notebook avec des outils comme Visual Studio Code (VS Code) pour bénéficier d’une expérience de développement plus enrichie.

Interface utilisateur et navigation

L’interface utilisateur de Jupyter Notebook est à la fois intuitive et puissante, optimisée pour maximiser la productivité de ses utilisateurs. Elle repose sur :

  • Le Notebook Dashboard, votre point de départ pour naviguer dans vos fichiers et ouvrir de nouveaux notebooks.
  • Un éditeur principal, comprenant une barre de menu complète, une barre d’outils personnalisable et des cellules interactives pour insérer du code ou du texte en markdown.

La navigation se déroule via deux modes principaux :

  • Mode Commande : Idéal pour manipuler l’ensemble du notebook, comme l’ajout/suppression de cellules.
  • Mode Édition : Réservé à la modification directe du contenu dans une cellule donnée.

Pour dynamiser davantage votre travail, des raccourcis clavier comme Shift + Enter (exécuter une cellule) ou Ctrl + S (sauvegarder) facilitent votre expérience. Ce système simple et fluide rend Jupyter Notebook parfait pour la programmation scientifique, le développement de code ou encore l’analyse de données.

Personne utilisant un Jupyter Notebook sur un ordinateur portable, avec des objets en arrière-plan, illustrant l'installation et l'utilisation de Jupyter Notebook sur Windows.

Structure et fonctionnement de base

Avec sa structure modulaire et flexible, Jupyter Notebook s’adapte à de nombreuses applications en programmation scientifique et en visualisation. Voici ses principaux éléments :

  • Notebooks (.ipynb) : Ces fichiers interactifs combinent code, résultats et documentation.
  • Système client-serveur : Le protocole ZMQ assure une exécution rapide et fluide dans divers langages.
  • Cellules : Deux types dominent – les cellules de code pour tout programme et celles en markdown pour formatage et explications.
  • Métadonnées : Elles contiennent des informations sur le kernel actif et d’autres spécifications du notebook.
  • Kernel : Il exécute les codes et mémorise l’état des variables d’un programme interactif.
  • Extensibilité : Grâce à son architecture, de nombreuses extensions peuvent être intégrées pour améliorer ses capacités.

En offrant une prise en charge multi-langages et une interface simple d’accès, Jupyter Notebook convient aussi bien aux débutants qu’aux utilisateurs avancés grâce à ses notebooks interactifs personnalisables.

Quelles sont les fonctionnalités essentielles ?

Les types de cellules définissent le cœur de l’expérience interactive dans Jupyter Notebook. Ces cellules se répartissent en trois catégories principales :

  • Les cellules de code : Pour exécuter des scripts Python, JavaScript ou d’autres langages.
  • Les cellules Markdown : Pour formater du texte avec des titres, listes ou équations mathématiques (LaTeX).
  • Les cellules Raw : Pour insérer du contenu brut non interprété.

Dans une cellule de code, vous pouvez utiliser des bibliothèques populaires telles que pandas (analyse de données), matplotlib (visualisation) ou scikit-learn (machine learning). Les résultats liés à ces bibliothèques s’affichent instantanément sous la cellule pour un développement rapide et intuitif.

L’utilisation du Markdown permet de structurer des notebooks clairs et lisibles, intégrant un contenu enrichi comme des tableaux ou des équations. Cette fonctionnalité est cruciale pour documenter des projets complexes, améliorer la collaboration ou partager des notebooks bien organisés.

Pour booster votre productivité, n’hésitez pas à tirer parti des raccourcis clavier. Voici quelques commandes fréquentes :

  • Shift + Enter : Exécuter la cellule courante et passer à la suivante.
  • A / B : Ajouter une cellule au-dessus ou en dessous.
  • DD : Supprimer une cellule existante.

Ces raccourcis, accessibles sur la plupart des plateformes comme Windows ou même Google Colab, optimisent les workflows fréquents des scientifiques des données et des développeurs Python.

Maîtriser les outils avancés de Jupyter Notebook

Gestion des kernels

Les kernels jouent un rôle central dans l’exécution du code de vos notebooks. Pour gérer efficacement ces éléments cruciaux :

  • Listez vos kernels actifs avec : jupyter kernelspec list.
  • Supprimez les kernels inutilisés grâce à : jupyter kernelspec remove.
  • Redémarrez régulièrement vos kernels pour maintenir des performances optimales lors de vos tâches de machine learning.

L’utilisation d’environnements virtuels via Anaconda ou pipenv permet également de travailler individuellement sur différents projets sans risque d’interférences entre les dépendances.

Sauvegarde et exportation des notebooks

Protégez et partagez votre travail en explorant les multiples options de sauvegarde et d’exportation :

  • Activez l’enregistrement automatique depuis le menu « Fichier ».
  • Exportez vos notebooks dans divers formats via « Fichier > Exporter » ou la commande terminal jupyter nbconvert.
  • Pour une conversion PDF, assurez-vous que les outils TeX et Pandoc sont installés au préalable.

Simplifiez aussi la gestion des fichiers en supprimant les données inutiles pour optimiser la taille des documents.

Vue d'un ordinateur portable affichant un code dans Jupyter Notebook, avec un stylo et un carnet à côté. Idéal pour découvrir le téléchargement et l'installation de Jupyter Notebook sur Windows.

Extensions principales et leur utilisation

Les extensions enrichissent encore davantage l’écosystème de Jupyter Notebook :

  • Table of Contents (toc2) : Pour une navigation organisée dans des notebooks complexes.
  • ExecuteTime : Utile pour mesurer le temps d’exécution des cellules.
  • Variable Inspector : Affiche un tableau récapitulatif des variables actives.
  • Codefolding : Améliore la lisibilité des scripts longs.

Ces extensions se configurent rapidement après installation via les commandes pip install jupyter_contrib_nbextensions et jupyter contrib nbextension install --sys-prefix.

JupyterLab vs Jupyter Notebook

Voici un comparatif des deux outils pour identifier celui qui convient à vos besoins :

Fonctionnalité Jupyter Notebook JupyterLab
Interface Simple et rapide Sophistiquée et modulaire
Extensions Support limité Support avancé
Collaboration Basique Fonctionnalités optimisées

JupyterLab se distingue par une personnalisation accrue et une gestion améliorée des projets complexes, idéale pour des environnements avancés.

Comment tirer le meilleur parti de Jupyter Notebook pour vos projets ?

L’intégration de visualisations interactives est essentielle pour enrichir vos notebooks. Grâce à des outils comme Matplotlib, Seaborn, Plotly ou encore IpyWidgets, vos analyses peuvent gagner en clarté et dynamisme. Ces bibliothèques transforment vos scripts Python en solutions interactives idéales pour la science des données ou des présentations professionnelles.

Pour structurer vos projets :

  • Organisez-les avec des sections claires en Markdown.
  • Documentez vos résultats pour chaque étape.
  • Sauvegardez vos travaux régulièrement et tirez parti d’un contrôle de version comme Git.

Enfin, en privilégiant la collaboration via des outils tels que Google Colab, Deepnote ou JupyterHub, vous pouvez élargir vos perspectives de travail en équipe tout en simplifiant le partage de projets.

Adopter Jupyter Notebook, c’est choisir un outil à la fois flexible et puissant, idéal pour relever les défis de la programmation moderne. De l’apprentissage initial aux analyses les plus poussées, il offre un éventail d’outils pour transformer vos idées en solutions concrètes.

 

Développeur travaillant sur du code back-end sur un ordinateur portable, illustrant les technologies back-end et la programmation.
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Back end : Les fondamentaux pour débutants

Le back end constitue le socle indispensable du développement web, orchestrant discrètement les traitements invisibles qui permettent aux applications de fonctionner harmonieusement. Bien qu’il reste souvent dans l’ombre du front-end, cette dimension essentielle regorge de concepts fascinants à maîtriser, que vous soyez débutant ou en quête d’amélioration. En explorant des notions telles que la gestion des bases de données, les architectures serveur ou encore le rôle stratégique des APIs, vous découvrirez les clés pour optimiser cette partie cruciale d’une solution web performante. Plongez dans cet univers technique et donnez vie à des applications robustes et évolutives.

Comprendre le back end : fondamentaux et concepts

Le back end correspond à la partie invisible mais cruciale d’une application web, où s’effectue l’ensemble des traitements côté serveur. Véritable moteur de l’application, il veille à ce que chaque interaction utilisateur soit prise en charge efficacement en arrière-plan. Cette infrastructure gère le stockage, le traitement et la sécurisation des informations échangées avec la partie visible de l’application, appelée le front-end.

Le développement back end englobe des éléments comme la création d’APIs, la gestion de bases de données et l’écriture de scripts serveur pour assurer une communication harmonieuse entre les différentes couches logicielles. Un développeur back end doit aussi maîtriser la logique métier et s’appliquer à optimiser les processus de traitement pour garantir des performances serveurs maximales.

L’architecture du back end repose sur plusieurs couches qui collaborent pour traiter efficacement les requêtes des utilisateurs. Au cœur de ce système se trouve un serveur capable de gérer des calculs complexes, souvent hébergé par des infrastructures dédiées. Les bases de données assurent le stockage d’informations, tandis que les APIs permettent une interaction structurée entre le back end et les autres éléments, y compris le front-end. Cette modularité facilite non seulement la maintenance technique mais aussi la montée en charge des applications en réponse à leur croissance. Les frameworks back end, comme Symfony ou Ruby on Rails, offrent aux développeurs des outils puissants pour structurer et organiser efficacement leur code serveur.

Les langages utilisés en développement back end, appelés langages côté serveur, sont variés et adaptés aux besoins spécifiques des projets. Ceux-ci incluent notamment :

  • Python : apprécié pour des frameworks comme Django et Flask, idéal pour le développement serveur.
  • PHP : un excellent choix pour développer des sites dynamiques et gérer un back-office.
  • Java : reconnu pour sa robustesse et ses performances, largement utilisé en entreprise.
  • Ruby : célèbre pour sa syntaxe épurée et associé à Ruby on Rails.
  • Node.js : permettant d’utiliser JavaScript côté serveur, il favorise une stack unifiée avec des frameworks front-end comme React ou Angular.
  • SQL : incontournable pour gérer et optimiser les bases de données.

En combinant ces outils, les développeurs back end peuvent construire des solutions performantes, sécurisées et capables de répondre à des besoins toujours plus complexes. Que vous débutiez ou souhaitiez approfondir vos compétences dans ce domaine, la maîtrise des bases de données, des frameworks et des concepts fondamentaux vous permettra de concevoir des applications web innovantes et fiables.

Quelles sont les technologies et outils essentiels ?

Une fois les concepts de base assimilés, il est temps d’explorer les outils et technologies qui façonnent l’univers du back end. Les frameworks back-end constituent un élément clé dans la création d’applications modernes. Parmi eux, Django, Laravel et Express.js brillent par leur polyvalence et leur capacité à s’adapter à différents besoins de développement. Django se distingue par sa robustesse, idéal pour les projets complexes. Si vous travaillez avec PHP, Laravel offre des fonctionnalités puissantes et une approche conviviale, tandis que Express.js séduit par sa légèreté, particulièrement efficace pour le développement d’APIs et de microservices en JavaScript. Ces frameworks reflètent les avancées constantes en matière de technologies back-end, conçues pour répondre aux exigences croissantes.

Les bases de données, quant à elles, jouent un rôle fondamental en assurant le stockage et la gestion des informations. Voici une comparaison des principales catégories utilisées :

Type de base de données Cas d’utilisation Avantages Inconvénients
Relationnelles (MySQL) Données structurées Organisation claire, requêtes SQL optimisées Moins adaptée aux données complexes
NoSQL (MongoDB) Données non structurées Flexibilité élevée, grande scalabilité Peut être plus complexe à gérer
Multimodales Solutions hybrides Grande polyvalence et intégration simplifiée Courbe d’apprentissage plus rude

En matière de communication, les APIs occupent une place centrale, rendant possible l’échange de données entre différentes parties d’une application ou avec des services tiers. Quelques solutions incontournables :

  • Firebase, pour une synchronisation en temps réel adaptée aux environnements mobiles et web.
  • StackAPI, facilitant les opérations CRUD via REST.
  • Backendless, qui simplifie et accélère les projets grâce à une approche no-code.
  • Les APIs basées sur le modèle MVC, idéales pour séparer logiquement la présentation et la logique métier.
  • Les API tierces, comme celles pour la météo, qui enrichissent les fonctionnalités d’une application.

Ces outils constituent un socle solide pour développer des systèmes performants et assurer une communication fluide entre les composants. En travaillant avec des technologies avancées comme PHP, Node.js ou Python, vous découvrirez à quel point back-end et front-end interagissent pour créer des solutions fiables et évolutives. Il est temps d’explorer, de tester et d’affiner vos compétences en développement serveur !

Code source d'un développement back-end avec des fonctions et des méthodes utilisées en programmation.

Sécurité et qualité du back-end

Sécurité et authentification

La sécurité est primordiale dans tout développement back-end. L’utilisation des JSON Web Tokens (JWT) pour l’authentification assure une vérification rapide et sécurisée des utilisateurs. En parallèle, la gestion des sessions distribue des identifiants uniques stockés côté serveur. Pour aller plus loin, implémentez un contrôle d’accès basé sur les rôles (RBAC), qui limite les permissions en fonction des responsabilités des utilisateurs.

Le chiffrement des données via HTTPS est indispensable pour toute architecture moderne. Par ailleurs, la validation systématique des entrées utilisateur protège des attaques classiques comme l’injection SQL. Enfin, mettre en place une limitation de taux (rate limiting) prévient les attaques DoS, renforçant ainsi la résilience de votre système.

Tests et maintenance des applications back-end

  • Planification stratégique des tests : Définissez un périmètre d’analyse clair pour vos APIs, bases de données et serveurs. Les tests fonctionnels et d’intégration s’avèrent cruciaux pour assurer une communication fluide dans l’architecture logicielle.
  • Outils pour tests et performances : Surveillez les performances serveur avec JMeter et automatisez les tests grâce à Selenium, notamment pour les projets qui impliquent une interaction entre front-end et back-end.
  • Maintenance préventive et amélioration continue : Adoptez des outils comme Git pour un suivi efficace des modifications, intégrez la supervision temps réel via Datadog et maintenez une formation régulière pour les développeurs.

Ces éléments forment les bases d’un développement durable et fiable.

Comment optimiser le développement back-end ?

Adopter des pratiques optimales est essentiel pour booster la performance de votre infrastructure back-end. L’automatisation s’impose avec des outils comme Docker et Kubernetes, accompagnés de pipelines CI/CD pour accélérer et fiabiliser les déploiements. Une gestion rigoureuse des environnements (développement, validation, production) garantit des transitions fluides.

Surveillance proactive et performances

Une surveillance continue à l’aide d’outils comme Prometheus ou New Relic permet un suivi minutieux des métriques clés, comme la latence ou l’utilisation CPU.

Optimisation des ressources

Indexation des bases, techniques de caching, et compression des données allègent la charge serveur. Les tests de charge (JMeter) sont aussi indispensables pour vérifier la robustesse.

Maintenance continue

Documentez vos systèmes, détectez les vulnérabilités et assurez une pérennité grâce à des mises à jour fréquentes. La formation continue des équipes reste essentielle pour maintenir un niveau d’expertise élevé.

En mettant en œuvre ces pratiques, vous bâtirez des solutions back-end adaptées aux évolutions technologiques et aux attentes des utilisateurs.

Maîtriser le back-end est un pilier essentiel pour concevoir des applications web performantes et durables. Riche en opportunités, ce domaine vous permettra de transformer vos idées en solutions concrètes grâce à une meilleure compréhension des langages serveur, des outils et des bonnes pratiques à suivre. Lancez-vous dès aujourd’hui pour explorer cet univers captivant et renforcer vos compétences !

Une femme analysant des données sur un écran d'ordinateur avec des graphiques colorés.
Formations

Certification Data Scientist : Comment elle booste votre carrière?

Dans un monde où la gestion et l’analyse des données occupent une place centrale, la Certification Data Scientist s’affirme comme un véritable sésame pour valider vos compétences et booster votre carrière. Que vous soyez un débutant curieux ou un professionnel engagé souhaitant affiner votre expertise, obtenir une certification reconnue peut transformer vos opportunités. Avec des avantages tels qu’une amélioration de l’employabilité, des salaires plus compétitifs et de meilleures perspectives dans des secteurs en plein essor, la certification représente un levier de développement incontournable à étudier dès aujourd’hui.

Comprendre la Certification Data Scientist : bases et définitions

La Certification Data Scientist est une validation officielle des compétences en science des données. Elle atteste la maîtrise des concepts clés, comme la statistique, l’apprentissage automatique, la visualisation des données et l’utilisation des outils stratégiques tels que Python, R et SQL. Que ce soit dans un format en ligne ou en présentiel, les programmes de certification évaluent la capacité à collecter, analyser et interpréter des ensembles de données complexes pour en extraire des informations exploitables. Dans un secteur en perpétuelle évolution, cette reconnaissance professionnelle est devenue essentielle pour se démarquer.

Un scientifique des données travaillant sur un ordinateur portable, entouré de graphiques et de tableaux.

Les certifications disponibles se déclinent en plusieurs types, chacun adapté à des profils et à des objectifs spécifiques :

  • Certifications fondamentales : comme le Data Scientist Associate de DataCamp, idéales pour découvrir la discipline.
  • Certifications techniques : telles que le SAS Certified Data Scientist ou le Professional Data Engineer de Google, mettant l’accent sur la maîtrise des outils technologiques.
  • Certifications avancées : à l’image du Principal Data Scientist de DASCA, destinées aux professionnels expérimentés.
  • Certifications spécialisées : idéales pour cibler une niche, comme le TensorFlow Developer Certificate pour l’intelligence artificielle ou la Cloudera CCA Data Analyst pour l’analyse Big Data.
  • Certifications académiques : proposées par les universités, combinant théorie et exercices pratiques pour une approche approfondie.

Ces certifications sont un puissant moteur de progression professionnelle. En validant leurs compétences auprès des employeurs, les Data Scientists certifiés accèdent à des perspectives attractives. Les études montrent d’ailleurs que ces professionnels peuvent prétendre à des salaires 15 à 20 % supérieurs à leurs pairs non certifiés, grâce à des reconnaissances comme le Microsoft Certified: Azure Data Scientist Associate. Par ailleurs, ces certifications permettent de rejoindre des communautés d’experts, où l’on partage les dernières avancées en machine learning ou intelligence artificielle, enrichissant ainsi vos compétences.

Pour obtenir une certification, certains prérequis doivent généralement être remplis :

  • Compétences techniques : une bonne maîtrise des langages comme Python ou R, des bases solides en SQL, en machine learning et en statistiques.
  • Formation académique : un diplôme Bac+5 en informatique, mathématiques ou un domaine connexe est souvent demandé pour les certifications avancées.
  • Expérience professionnelle : variable selon les certifications, allant de débutant à plusieurs années d’expérience.
  • Connaissances métier : une capacité à comprendre les enjeux business et à communiquer efficacement les résultats obtenus, cruciale notamment pour les rôles stratégiques.

L’accessibilité des parcours de formation est un autre avantage clé. Des plateformes comme celles du CNAM ou des MOOCs proposent aujourd’hui des options à coût réduit, voire gratuites, pour explorer ou approfondir vos compétences. Ces alternatives ouvrent des portes vers un secteur lucratif où les certifications, notamment celles orientées vers l’IA et le Big Data, sont hautement demandées.

Un groupe de professionnels discutant de données et de graphiques lors d'une réunion.

Quelles sont les étapes pour obtenir une Certification Data Scientist ?

Une fois que les bases de la science des données sont maîtrisées, l’étape suivante consiste à s’engager dans un processus structuré pour décrocher une certification. L’objectif est de sélectionner une reconnaissance adaptée à vos ambitions, comme la SAS Certified Data Scientist ou encore la Google Data Scientist Certification. Ces programmes, alternant théorie et pratique, nécessitent généralement une préparation allant de 3 à 12 mois, selon le niveau de difficulté.

Ressources d’apprentissage essentielles à exploiter :

  • Plateformes en ligne réputées, comme Coursera, Udacity ou encore les offres gratuites du CNAM.
  • Documents et guides officiels relatifs à la certification ciblée.
  • Environnements de codage interactifs tels que Jupyter Notebooks, pour appliquer vos compétences en Python et R.
  • Communautés en ligne, forums et groupes d’étude pour échanger avec d’autres candidats.
  • Études de cas et projets pratiques pour approfondir vos savoir-faire.

Les étapes clés du processus :

  1. Évaluer vos compétences et choisir une certification adaptée : comme le Microsoft Certified: Azure Data Scientist Associate ou des spécialisations en IA et Big Data.
  2. S’inscrire et régler les frais d’examen : Les tarifs varient souvent entre 330$ et 1450$.
  3. Étudier le programme officiel : en suivant les ressources fournies par des acteurs comme Google ou IBM.
  4. S’entraîner sur des cas concrets pour développer une expertise pratique.
  5. Passer l’examen final : souvent une combinaison de théories et de projets pratiques pour évaluer vos aptitudes.
  6. Finaliser un projet si nécessaire : particulièrement dans les certifications orientées sur des cas réels.
  7. Obtenir la certification et capitaliser sur cette valeur ajoutée pour booster votre employabilité.

Un entraînement régulier aux outils technologiques, aux algorithmes d’apprentissage automatique et aux travaux pratiques est crucial pour garantir le succès. Les données montrent qu’une préparation cohérente sur 3 à 6 mois suffit aux professionnels maîtrisant déjà les bases. De nombreux témoignages relèvent également l’utilité des cours en ligne gratuits pour réduire les coûts liés à la certification.

Ainsi, obtenir une certification en science des données ouvre les portes à une meilleure reconnaissance, vous positionnant comme un acteur clé dans un marché où les compétences en machine learning et IA sont plus que jamais valorisées.

Comment choisir la meilleure Certification Data Scientist ?

Le choix d’une certification est une étape déterminante pour votre carrière en science des données. Que vous optiez pour une certification technique, avancée ou spécialisée, celle-ci doit être en adéquation avec vos objectifs professionnels et votre secteur d’activité. Par exemple, si vous ciblez des postes centrés sur l’intelligence artificielle, une certification machine learning comme celle de Google sera un excellent choix.

Comparaison des principales certifications Data Scientist :

Critères AWS Certified Analytics Azure Data Scientist SAS Certified Open CDS
Expérience requise 5 ans 2 ans Aucune 2-10 ans
Validité 3 ans 1 an Illimitée 3 ans
Coût $300 $165 $250 $500
Focus principal Cloud & Analytics ML & AI Analytics Général

Questions clés pour affiner votre sélection :

  • Votre niveau actuel en programmation et en analyse de données est-il adapté à la certification visée ?
  • Le programme couvre-t-il les compétences les plus recherchées, comme celles autour de l’IA et du Big Data ?
  • Disposez-vous d’assez de temps pour vous préparer via des options flexibles telles que les formations en ligne ?
  • La certification visée est-elle reconnue dans votre secteur ou cible-t-elle des outils stratégiques comme Azure ou TensorFlow ?

Enfin, investir dans une certification revient souvent à s’offrir un catalyseur de carrière. Avec des augmentations de salaire pouvant aller jusqu’à 20 %, des perspectives de croissance (+36 % d’ici 2031) et des outils accessibles pour se distinguer, miser sur une certification Data Scientist est un choix stratégique.

Perspectives d’avenir et évolution professionnelle

La certification transforme véritablement les carrières en science des données. Grâce à elle, vous pouvez prétendre à des fonctions stratégiques comme Lead Data Scientist, Data Engineer ou Chief Data Officer. Les entreprises valorisent de plus en plus ces certifications reconnues, notamment celles délivrées par Microsoft, Google ou IBM.

  • Postes accessibles après certification :
  • Lead Data Scientist
  • Machine Learning Engineer
  • Data Architect
  • Business Intelligence Analyst

Le dynamisme du secteur et des formations accessibles, comme celles du CNAM ou des MOOCs, enrichit encore davantage ces perspectives. Les Data Scientists certifiés deviennent des acteurs clés dans des industries variées, de la finance à la tech, pilotant des projets révolutionnaires grâce à leurs compétences certifiées.

S’engager dans une certification Data Scientist représente incontestablement une décision stratégique pour votre carrière. Prenez le temps d’explorer les options, et franchissez une étape décisive vers un avenir prometteur dans la science des données.

Formations

Formation développeur web : comment devenir expert le plus vite possible ?

Une formation de développeur web permet d’acquérir toutes les compétences nécessaires pour concevoir et créer des applications et sites web de haute qualité. Découvrez pourquoi et comment acquérir une véritable expertise !

Notre monde est de plus en plus numérique. Dans ce contexte, le développement web est devenu un pilier de nos sociétés, soutenant tout une gamme d’activités allant du commerce électronique aux réseaux sociaux en passant par les services bancaires en ligne et le streaming vidéo.

Face à cette réalité, les développeurs web jouent un rôle devenu indispensable. Ainsi, suivre une formation permet de s’engager dans une voie d’avenir et de saisir de nombreuses opportunités professionnelles !

Pourquoi suivre une formation de développeur web ?

Sur le marché du travail, les compétences en développement web sont devenues une précieuse ressource pour les entreprises de toutes tailles et de tous secteurs.

Les professionnels qualifiés sont recherchés pour concevoir, construire et maintenir des sites web fonctionnels, des applications interactives et des solutions innovantes répondant aux besoins des utilisateurs.

Avec l’importance croissante de la présence en ligne pour les entreprises et organisations de toutes tailles, la demande pour ces compétences augmente. Aujourd’hui, disposer d’un site web fonctionnel et attrayant est essentiel pour atteindre et engager les clients, renforcer la notoriété de sa marque et stimuler sa croissance.

Qu’il s’agisse de créer de nouveaux sites web, d’améliorer les fonctionnalités existantes ou de développer des applications personnalisées, les entreprises investissent de plus en plus dans le développement et la maintenance de leurs plateformes en ligne.

Cette demande croissance se reflète dans l’explosion du nombre d’offres d’emploi et les salaires attractifs offerts aux développeurs qualifiés. Selon Indeed, le salaire annuel moyen pour cette profession dépasse 38 000€ !

S’inscrire à une formation développeur web

De plus, ce domaine offre une remarquable flexibilité de carrière. Que ce soit en tant qu’indépendant, en entreprise ou dans le secteur public, les opportunités abondent pour les experts en programmation web.

Les entreprises tech, agences de développement web, startups et grandes entreprises cherchent activement à recruter des développeurs talentueux capables de créer des produits numériques de qualité.

En outre, le développement web offre aussi la possibilité d’explorer des domaines spécialisés comme les applications mobiles, les jeux, l’IoT ou le e-commerce. Il est donc possible de choisir un emploi correspondant à vos intérêts.

Une formation permet aussi de s’adapter aux nouveaux langages, frameworks, bibliothèques qui émergent régulièrement. Un développeur doit constamment rester à jour sur les dernières tendances pour rester compétitif.

Au-delà de ces avantages, l’une des principales motivations pour suivre une formation de développeur web réside dans la satisfaction professionnelle qu’offre ce métier. Créer des solutions numériques permet d’avoir un impact significatif sur la vie des gens, qu’il s’agisse de simplifier des processus, de connecter des communautés ou d’améliorer l’accessibilité à l’information !

Quelles sont les compétences à acquérir ?

Réussir dans le domaine du développement web requiert un panel de compétences techniques. Avant toute chose, la maîtrise des langages de programmation HTML, CSS, JavaScript est indispensable.

C’est aussi le cas des langages côté serveur comme PHP, Python ou Ruby. La compréhension des concepts fondamentaux comme DOM (Document Object Model), AJAX et les APIs est aussi essentielle.

Il existe aussi de nombreux frameworks et bibliothèques à connaître tels que React, Angular, Vue.js, Bootstrap ou jQuery. Un développeur doit aussi connaître les bases de données et le langage SQL permettant de les manipuler.

Il doit aussi savoir travailler avec des outils de versionnement de code tels que Git, et manier les bonnes pratiques de sécurité web et d’optimisation des performances pour éviter les cyberattaques ou les dysfonctionnements.

C’est un métier collaboratif qui requiert de savoir travailler en équipe, de communiquer efficacement et de gérer les projets de manière autonome. Après avoir créé un site ou une application, il faut aussi savoir résoudre les problèmes et déboguer le code.

L’acquisition de ces compétences exige un engagement soutenu à la fois dans l’apprentissage et dans la pratique. Voilà la raison pour laquelle une formation est le meilleur moyen de commencer sa carrière !

Se former au développement web

Les avantages d’une formation de haute qualité

Suivre une formation structurée offre un cadre d’apprentissage organisé et progressif, permettant aux étudiants de développer leurs compétences de manière cohérente et systématique.

Les programmes comprennent généralement des cours théoriques, des projets pratiques, des exercices et des évaluations. Ils offrent ainsi une expérience d’apprentissage complète et équilibrée.

De plus, les formations sont dispensées par des instructeurs expérimentés et compétents, aptes à partager leur expertise, leur expérience et leurs meilleures pratiques. Cela permet aux apprenants de bénéficier du retour d’expérience des professionnels du domaine et de se familiariser avec les tendances et réalités du marché.

C’est aussi l’occasion de réseauter avec d’autres étudiants et professionnels du secteur. Les interactions avec les pairs et les mentors peuvent fournir un soutien précieux, des conseils et des opportunités de collaboration enrichissant l’expérience d’apprentissage et favorisant le développement professionnel.

Comment choisir la bonne formation ?

Afin de sélectionner la formation qui vous correspond, vous devez prendre en compte plusieurs facteurs. Il s’agit d’abord de déterminer vos objectifs de carrière et d’identifier les compétences que vous souhaitez acquérir.

Examinez le contenu du programme, afin de vous assurer qu’il couvre les sujets pertinents et les technologies actuelles du domaine. Renseignez-vous aussi sur la réputation de l’institution ou de l’organisme de formation, et sur l’expérience et les qualifications des instructeurs.

Tenez également compte des modalités de formation proposées et choisissez celle qui correspond le mieux à votre emploi du temps et à votre style d’apprentissage. On distingue notamment les formations en ligne, en présentiel, à temps partiel et à temps plein.

N’oubliez pas non plus d’évaluer le coût de la formation par rapport à la valeur qu’elle offre en termes d’acquisition de compétences, de soutien pédagogique et de perspectives professionnelles…

Acquérir des compétences en développement web

Conseils et astuces pour bien réussir sa formation

Plusieurs pratiques peuvent maximiser vos chances de réussir votre formation de développeur web et d’en tirer pleinement profit.

Investissez-vous pleinement, en consacrant du temps et de l’énergie à vos études. Soyez assidu et discipliné dans votre travail.

La pratique régulière est également la clé pour renforcer vos compétences. Créez des projets personnels, résolvez des problèmes de programmation et participez à des défis en ligne pour mettre en pratique tout ce que vous apprenez.

Ne craignez jamais d’explorer de nouvelles technologies, langages et frameworks ! L’expérimentation vous permettra de découvrir de nouvelles approches et de développer votre créativité.

Apprendre à rechercher des solutions en ligne et à consulter la documentation des langages et outils que vous utilisez peut aussi vous être d’un précieux secours. Savoir trouver des réponses par vous-même est très important dans cette discipline.

Acceptez aussi les critiques constructives, et utilisez-les pour vous améliorer. Participez à des forums de discussion, rejoignez des communautés de développeurs et sollicitez les retours de vos pairs et de vos instructeurs.

Les opportunités de stages et de projets collaboratifs peuvent aussi vous permettre d’acquérir une expérience pratique et de développer votre réseau professionnel. Là encore, vous pourrez mettre en pratique vos compétences dans un environnement réel.

Même après la formation, continuez d’apprendre et de vous perfectionner en suivant des cours en ligne, en participant à des conférences et en restant informé des dernières tendances et technologies.

Conclusion : la formation développeur web, un cursus complet pour une carrière dans le numérique

La formation de développeur web représente une opportunité exceptionnelle pour commencer une vocation dans un domaine en perpétuelle évolution.

Que ce soit pour accéder à l’emploi de vos rêves, satisfaire votre passion pour la technologie ou contribuer à l’innovation numérique, il s’agit d’un terrain fertile pour la croissance et l’épanouissement professionnel.

Afin de devenir expert en développement web, vous pouvez choisir DataScientest ! Nos formations vous permettront de maîtriser tous les outils et techniques pour construire des applications et sites web.

Nos cursus s’effectuent intégralement via le web, et permettent d’obtenir un diplôme reconnu par l’État, un certificat de formation continue ou encore une certification Cloud de nos partenaires AWS et Azure.

Vous pouvez compléter nos parcours en BootCamp, formation continue ou alternance. Notre organisme est également éligible pour le CPF. Découvrez vite DataScientest !

Commencer une formation développeur web

 

Dossier

SHAP, pour l’interprétabilité des modèles d’IA

La capacité à comprendre et à expliquer les décisions prises par les modèles d’Intelligence Artificielle ou de Machine Learning est devenue primordiale. Ces technologies sophistiquées s’intègrent de plus en plus dans des domaines critiques tels que la santé, la finance ou encore la sécurité. Les solutions comme SHAP (SHapley Additive exPlanations) connaissent un essor fulgurant.

SHAP s’inspire des concepts de la théorie des jeux coopératifs, et offre une méthode rigoureuse et intuitive pour décomposer les prédictions des modèles en contributions individuelles de chaque caractéristiques.

Fondements théoriques de SHAP

Il est nécessaire d’analyser un tant soi peu les racines théoriques de SHAP afin de comprendre sa valeur ajoutée mais également la raison qui le rend efficace pour interpréter des modèles parfois complexes.

Théorie des jeux coopératifs

Cette théorie, une branche de la théorie des jeux, se concentre sur l’analyse des stratégies pour les groupes d’agents qui peuvent former des coalitions et partager des récompenses. Au cœur de cette théorie se trouve la notion de “valeur équitable”, une façon de distribuer les gains (ou les pertes) parmi les participants d’une manière qui reflète leur contribution individuelle. C’est dans ce contexte que la Valeur de Shapley.

La Valeur de Shapley

Il s’agit d’un concept mathématique, introduit par Lloyd Shapley en 1953, servant à déterminer la part juste de chaque joueur dans un jeu coopératif. Elle est calculée en considérant toutes les permutations possibles de joueurs et en évaluant l’impact marginal de chaque joueur lorsqu’il rejoint une coalition. En d’autres termes, elle mesure la contribution moyenne d’un joueur à la coalition, en tenant compte de toutes les combinaisons possibles dans lesquelles ce joueur pourrait contribuer.

Lien avec SHAP

Dans le contexte du machine learning, SHAP utilise la Valeur de Shapley pour attribuer une « valeur d’importance » à chaque caractéristique d’un modèle prédictif. Chaque caractéristique d’une instance de données est considérée comme un « joueur » dans un jeu coopératif où le « gain » est la prédiction du modèle.

Implications de la Valeur de Shapley en IA

Cette valeur représente une avancée significative dans l’interprétabilité des modèles d’IA. Elle permet non seulement de quantifier l’impact de chaque caractéristique de manière juste et cohérente, mais offre aussi une transparence qui aide à construire la confiance dans les modèles d’apprentissage automatique.

Comment fonctionne SHAP ?

Au cœur de SHAP se trouve l’idée de décomposer une prédiction spécifique en un ensemble de valeurs attribuées à chaque caractéristique d’entrée. Ces valeurs sont calculées de manière à refléter l’impact de chaque caractéristique sur l’écart entre la prédiction actuelle et la moyenne des prédictions sur l’ensemble des données. Pour y parvenir, SHAP explore toutes les combinaisons possibles de caractéristiques et leurs contributions à la prédiction. Ce processus utilise la Valeur de Shapley, que nous avons abordée précédemment, pour assurer une répartition équitable et précise de l’impact parmi les caractéristiques.

Prenons un exemple

Imaginons un modèle prédictif utilisé dans le secteur financier pour évaluer le risque de crédit. SHAP peut révéler comment des caractéristiques telles que le score de crédit, le revenu annuel et l’historique de remboursement contribuent à la décision finale du modèle. Si un client se voit refuser un crédit, SHAP peut indiquer quelles caractéristiques ont le plus influencé cette décision négative, fournissant ainsi des indicateurs pertinents.

Utilisation avec Python

Python propose une bibliothèque pour SHAP. Cette dernière permet aux utilisateurs de tirer pleinement parti des avantages de SHAP pour l’interprétabilité des modèles.

Installation

La première étape, est bien sûr l’installation de la bibliothèque

pip install shap

Une fois installée, il ne reste plus qu’à l’importer dans votre environnement : 

import shap

Préparation des données

Supposons que vous ayez un modèle de Machine Learning déjà entraîné, tel qu’un modèle de forêt aléatoire pour la classification (RandomForestClassifier). Vous aurez donc besoin d’un ensemble de données pour l’analyse : 

from sklearn.model_selection import train_test_split

from sklearn.ensemble import RandomForestClassifier

import pandas as pd

# Load and prepare datas

data = pd.read_csv('my_amazing_dataset.csv')

X = data.drop('target', axis=1)

y = data['target']

# Split train and test set

X_train, X_test, y_train, y_test =
train_test_split(X, y, test_size=0.2, random_state=42)
# Train the model

model = RandomForestClassifier(random_state=42)

model.fit(X_train, y_train)

Analyse SHAP

Après entraînement du modèle, l’utilisation de SHAP vous permettra d’analyser l’impact des caractéristiques. Pour la poursuite de cet exemple, nous pouvons utiliser le Explainer Tree.

# Create Explainer Tree
explainer = shap.TreeExplainer(model)

# Compute SHAP Values on the test set

shap_values = explainer.shap_values(X_test)

Visualisation des résultats

SHAP offre bien évidemment diverses options de visualisation pour interpréter les résultats. Ainsi, pour avoir un résumé quant à l’importance des caractéristiques : 

shap.summary_plot(shap_values, X_test)
Il est également possible d’examiner l’impact d’une caractéristique spécifique : 
# Need to initialize javascript in order to display the plots
shap.initjs()

# View impact

shap.plots.force(explainer.expected_value[0], shap_values[0])

Pour conclure

SHAP (SHapley Additive exPlanations) est un outil puissant et polyvalent pour l’interprétabilité des modèles de Machine Learning. En s’appuyant sur les principes de la théorie des jeux coopératifs et de la Valeur de Shapley, il offre une méthode rigoureuse pour décomposer et comprendre les contributions des caractéristiques individuelles dans les prédictions d’un modèle.

L’utilisation de la bibliothèque SHAP en Python démontre sa facilité d’intégration et de mise en œuvre dans le workflow de data science. De plus, avec une Intelligence Artificielle devenant de plus en plus omniprésente, l’interprétabilité des modèles ne peut pas se permettre d’être sous-estimée.

Conseils

Plan de Reprise d’Activité (PRA) : un guide essentiel pour la continuité des entreprises

Un Plan de Reprise d’Activité (PRA) est essentiel dans une entreprise moderne pour assurer la continuité des opérations en cas de cyberattaque ou autre situation de crise. Découvrez tout ce que vous devez savoir sur cette pratique, et le rôle clé de l’analyse de données.

Face aux nombreux risques de cybersécurité et autres incidents imprévisibles, il n’est pas toujours simple d’assurer la continuité des activités pour une entreprise.

Or, une interruption prolongée des opérations peut avoir des conséquences financières désastreuses, mettre en péril la confiance des clients et nuire à la réputation d’une organisation.

Afin d’éviter une telle catastrophe, il est essentiel de mettre en place un dispositif dénommé PRA : Plan de Reprise d’Activité.

Qu’est-ce qu’un PRA ?

Il s’agit d’un ensemble de procédures et de stratégies, visant à minimiser les perturbations et à rétablir rapidement les opérations après un événement imprévu.

L’objectif principal est d’assurer la continuité des activités les plus critiques, mais aussi de protéger les actifs de l’entreprise et donc de réduire les pertes financières.

Souvent confondu à tort avec le Plan de Continuité des Activités (PCA), le PRA est pourtant un concept bien distinct.

Alors que le PCA vise à garantir la continuité des opérations dans des conditions de fonctionnement dégradées, le PRA se concentre spécifiquement sur la reprise après un événement perturbateur majeur.

Maîtriser le PRA

Les étapes et composants du PRA

Pour être efficace, un PRA doit réunir plusieurs composants clés. La première étape est l’analyse et l’évaluation des risques potentiels auxquels l’entreprise est exposée.

Ceci implique d’identifier les menaces internes et externes, d’évaluer leurs impacts potentiels sur les opérations, et de prioriser les actions à entreprendre.

Après avoir cerné ces risques, la marche à suivre consiste à identifier les processus clés nécessitant d’être rétablis en priorité.

Il peut s’agir par exemple des activités telles que la production, la gestion des stocks ou encore la communication avec les clients. Tout dépend du secteur de l’entreprise et de son fonctionnement.

Pour chacun de ces processus critiques, des stratégies de reprise doivent être élaborées. On peut notamment mettre en place des sites de secourssécuriser les sauvegardes des données ou élaborer des plans de rechange pour les principaux fournisseurs.

Pendant cette période de reprise, une communication efficace avec les parties prenantes internes et externes est cruciale. De fait, un plan de communication détaillé doit être établi pour informer les employés, les clients, les partenaires commerciaux, les autorités et les médias sur la situation et les mesures prises.

Afin de s’assurer que tout le personnel soit bien préparé à réagir, des formations et des opérations de sensibilisation sont indispensables. Des équipes de gestion de crise doivent aussi être désignées et préparées pour prendre les décisions appropriées en cas d’incident.

Enfin, l’efficacité du PRA doit être régulièrement vérifiée. Ceci passe notamment par des exercices de simulation et des tests pratiques visant à évaluer sa fiabilité et à identifier les éventuelles lacunes à corriger.

Quels sont les avantages pour l’entreprise ?

En ayant un plan de reprise clair et exécuté à la lettre, les entreprises minimisent les temps d’arrêt et les pertes liées aux incidents. La reprise rapide des opérations limite les effets négatifs sur les revenus et la productivité.

C’est aussi un moyen de maintenir la confiance des clients, partenaires et investisseurs. L’entreprise reste capable de fournir produits et services de manière cohérente, même après un événement perturbateur.

Pour les entreprises de secteurs soumises à des réglementations et normes de conformité, un PRA aide à s’assurer que ces obligations légales soient respectées. Ceci peut éviter de lourdes sanctions et des litiges potentiels.

Enfin, une réaction rapide et efficace en situation d’urgence renforce la réputation et l’image de marque d’une organisation. Elle démontre qu’elle est digne de confiance et résistante face aux aléas.

Apprendre à élaborer un PRA

Le PRA à l’ère numérique

Avec la numérisation croissante des activités commerciales et l’essor des technologies modernes, les PRA ont évolué pour s’adapter aux défis spécifiques de cette nouvelle ère.

Désormais, la sauvegarde des données régulière et sécurisée des données est essentielle. Des procédures de sauvegarde automatisées doivent être mises en place, ainsi que des politiques de gestion et des mécanismes de récupération pour assurer l’intégrité et la disponibilité de la data en cas de sinistre.

Un PRA doit aussi inclure des mesures de sécurité pour prévenir, détecter et contre les cyberattaques. Les outils tels que les pare-feu, les logiciels de détection des intrusions ou les solutions de cryptage permettent de se protéger contre cette menace majeure.

Les technologies de cloud peuvent aussi aider à renforcer les PRA. Il est notamment possible d’utiliser des services de reprise dans le cloud pour stocker les données et les systèmes critiques. Ceci permet une reprise rapide et accroît la résilience.

L’importance de l’analyse de données

Le PRA est essentiel pour protéger les données sensibles utilisées dans les projets de Data Science. Les pratiques comme le cryptage et les sauvegardes backups font partie intégrante d’une stratégie efficace.

De l’autre côté, les techniques d’analyse de données avancées sont aussi au cœur du PRA. Elles permettent d’identifier les risques potentiels, d’évaluer l’impact des incidents sur les opérations, et d’optimiser les stratégies de reprise.

Le Machine Learning et l’IA peuvent aussi être exploités pour automatiser une partie du processus de reprise, ou pour détecter les anomalies encore plus rapidement.

Conclusion : le PRA, un dispositif de sécurité basé sur l’analyse de données

Face aux enjeux du numérique, une entreprise moderne ne peut plus se permettre de risquer une interruption d’activité.

Afin d’éviter les conséquences catastrophiques d’une fuite de données ou d’une cyberattaque, un PRA est désormais indispensable.

L’analyse de données est une composante essentielle de cette approche stratégique, car elle permet d’identifier les principales menaces et les processus les plus importants.

Afin d’apprendre à maîtriser cette discipline, vous pouvez choisir les formations DataScientest. Nos différents programmes permettent d’acquérir toutes les compétences requises pour devenir Data ScientistData Analyst ou Data Engineer.

Vous découvrirez le langage Python, très utilisé pour l’analyse de données, mais aussi les bases de données et les techniques de Machine Learning.

Nos cursus vous ouvrent les portes d’un domaine professionnel tourné vers l’avenir, et se complètent intégralement à distance. En fin de parcours, vous pourrez recevoir une certification délivrée par Mines ParisTech PSL Executive Éducation ou par nos partenaires cloud AWS et Microsoft AzureDécouvrez vite DataScientest !

Commencer une formation

Vous savez tout sur le PRA. Pour plus d’informations sur le même sujet, découvrez notre dossier sur le métier d’administrateur de sécurité informatique et notre guide sur l’analyse de données.

Table de travail d'un business analyst
Définitions

Analyse Commerciale : Découvrez le monde de la Business Analytics

Dans le paysage commercial actuel, l’analyse est devenue un pilier essentiel pour orienter les choix stratégiques et favoriser la croissance. L’émergence du Big Data et des innovations technologiques a donné lieu à une discipline indispensable : la Business Analytics. Ce champ d’expertise explore et valorise les données pour révéler des insights pertinents, des tendances occultes et des orientations stratégiques. Il permet ainsi aux entreprises de prendre des décisions avisées tout en acquérant un avantage compétitif.

Qu’est-ce que la Business Analytics ?

La Business Analytics, aussi connue sous le nom d’analyse commerciale, est une discipline essentielle en affaires. Elle concerne la collecte, le traitement et l’analyse de données dans le but de fournir des insights actionnables. Ce champ permet aux entreprises de s’appuyer sur des données concrètes pour orienter leur stratégie, plutôt que sur de simples hypothèses. Au lieu de se limiter à l’examen des tendances historiques, la Business Analytics exploite des méthodes avancées pour révéler des motifs, relations et opportunités souvent méconnus. Par l’emploi de techniques variées, comme les analyses statistiques et les modèles prédictifs, elle aide les organisations à mieux comprendre leur position actuelle, à prévoir les évolutions futures et à optimiser leurs opérations.

Elle couvre une gamme variée de secteurs, de la finance au marketing en passant par la gestion des ressources humaines et la logistique. Elle intègre non seulement les données internes, mais aussi des informations externes pour offrir une vue globale. Avec les progrès technologiques et la montée en puissance de l’intelligence artificielle, la Business Analytics a évolué de manière significative. Elle propose désormais des solutions sophistiquées en matière de visualisation de données, de prédiction de tendances et d’optimisation des processus. En résumé, elle est devenue un levier essentiel pour toute organisation cherchant à prendre des décisions fondées dans un environnement d’affaires en constante mutation.

Différence entre Business Analytics et Business Intelligence

Bien que les termes « Business Analytics » et « Business Intelligence » puissent parfois être considérés comme synonymes, ils se distinguent par leurs approches et leurs objectifs en matière de données d’affaires. La Business Intelligence (BI) met l’accent sur l’agrégation, l’organisation et la visualisation des données historiques de l’entreprise. Elle offre une perspective rétrospective, alimentant ainsi la prise de décisions basées sur des informations passées.

À l’inverse, la Business Analytics (BA) va plus loin en s’intéressant à l’anticipation des performances à venir. Elle utilise des méthodes sophistiquées comme l’analyse prédictive, la modélisation statistique et même l’apprentissage machine pour éclairer sur des tendances, des relations et des corrélations inexplorées. Son but ultime est d’orienter des décisions stratégiques et opérationnelles plus éclairées. En somme, tandis que la BI se consacre à une compréhension rétrospective des données, la BA se focalise sur des analyses avancées pour guider l’avenir.

L’Impact du Business Analytics sur la Prise de Décision

L’adoption de la Business Analytics dans le processus décisionnel a révolutionné la stratégie d’entreprise. Avec une analyse de données poussée, les dirigeants disposent d’éléments concrets pour orienter leurs choix. Ces outils d’exploration révèlent des tendances et des relations complexes, souvent sources d’aperçus inattendus. Ainsi, les entreprises peuvent non seulement anticiper des opportunités mais aussi des risques, tout en s’appuyant sur des données fiables pour leurs décisions.

L’influence de la Business Analytics s’étend également à l’efficacité opérationnelle. En ajustant les processus internes à partir des analyses de données, les organisations ont la possibilité de minimiser les coûts, maximiser la productivité et améliorer le service client. Par exemple, l’exploration de données peut mettre en lumière des zones d’inefficacité dans la chaîne d’approvisionnement, optimiser la gestion des stocks ou encore personnaliser l’expérience client. À l’ère du numérique, la Business Analytics constitue un levier stratégique pour les entreprises cherchant à se démarquer et à s’adapter dans un environnement dynamique.

Exemples Concrets d’Application

Dans divers secteurs d’activité, la Business Analytics trouve des applications concrètes. En commerce de détail, elle permet, via l’analyse prédictive, d’anticiper les goûts des consommateurs pour une gestion optimale des stocks et une réponse efficace à la demande. Elle intervient également dans la tarification dynamique pour s’ajuster en temps réel selon la demande et les concurrents.

En santé, la Business Analytics facilite la prise de décisions médicales en prédisant les admissions futures et en allouant judicieusement les ressources. Elle aide aussi à cerner les facteurs de risque pour les patients et accélère la découverte de nouveaux médicaments.

Dans le secteur des médias et du divertissement, elle joue également un rôle significatif. Les services de streaming utilisent ces analyses pour personnaliser les recommandations, augmentant ainsi l’engagement utilisateur. Les studios de cinéma, de leur côté, ont recours à l’analyse prédictive pour estimer les performances potentielles de nouveaux films et ajuster leurs campagnes publicitaires en conséquence.

Cette polyvalence démontre que la Business Analytics s’impose comme un élément clé dans plusieurs industries, apportant des bénéfices concrets en matière de prise de décision, d’optimisation des opérations et d’innovation.

Les Compétences Requises pour une Carrière en Business Analytics

Pour débuter une carrière en analyse commerciale, un panel de compétences diversifié est requis, notamment en statistiques, en programmation et en communication. Comprendre les méthodes statistiques pour examiner des données et anticiper des tendances est fondamental.

L’aptitude à manipuler des outils d’analyse s’avère également indispensable. Cela englobe la maîtrise de langages comme Python ou R et la compétence pour travailler sur des plateformes SQL destinées à la gestion de bases de données. Savoir visualiser les données via des outils comme Tableau ou Power BI est un autre atout, permettant de rendre les résultats accessibles et intuitifs.

Au-delà des compétences purement techniques, l’analyse commerciale exige également un bon sens de la communication et du travail en équipe. Savoir décomposer des résultats analytiques complexes en messages simples pour les parties prenantes non initiées est crucial. Des aptitudes en pensée critique et en résolution de problèmes complètent le profil, aidant à cerner les enjeux d’analyse, à concevoir des stratégies adaptées et à contextualiser les résultats.

Ainsi, une carrière réussie en analyse commerciale allie des compétences techniques, des capacités d’analyse et des qualités relationnelles pour fournir une réelle plus-value aux entreprises.

Tendances Actuelles dans le Business Analytics

Le secteur de la Business Analytics est en pleine mutation, avec l’émergence de plusieurs tendances cruciales. Parmi celles-ci, l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) et de l’apprentissage automatique dans les pratiques d’analyse prend de l’ampleur. L’objectif est d’exploiter ces technologies pour détecter des schémas plus élaborés et pour automatiser un nombre croissant de fonctions analytiques, ouvrant ainsi la voie à des solutions plus avancées et prédictives.

Une autre évolution notable est le recours croissant à l’analyse en temps réel. Les entreprises s’orientent de plus en plus vers des dispositifs permettant une prise de décision immédiate en se basant sur des données en cours de production. Ceci requiert des infrastructures de données et d’analyse agiles et performantes, ainsi que l’adoption de technologies comme le traitement en mémoire et les plateformes d’analyse en temps réel.

La question de la confidentialité et de la sécurité des données reste également un enjeu de taille. Une attention accrue est portée aux techniques d’anonymisation et de sécurisation des données pour répondre à ces préoccupations.

En résumé, la Business Analytics poursuit sa transformation pour s’adapter aux besoins fluctuants des entreprises dans un environnement toujours plus centré sur les données. Les évolutions en matière d’IA, d’analyse en temps réel et de sécurité des données soulignent l’importance grandissante de ce domaine dans la prise de décision et l’impulsion de l’innovation.

Comment apprendre?, Formations

Formation DevOps : pourquoi et comment devenir expert certifié ?

Alors que la méthode DevOps connaît un essor sans précédent, suivre une formation DevOps permet d’acquérir une expertise très recherchée en entreprise et hautement rémunérée. Découvrez pourquoi et comment suivre un tel programme !

Le monde a changé, transformé par internet et les logiciels. Dans toutes les industries, les applications logicielles occupent désormais une place essentielle en entreprise.

Ceci est valable pour tous les secteurs, de la banque au divertissement en passant par le commerce de détail ou la santé. Le logiciel fait désormais partie intégrante de toutes les divisions d’un business.

Des services en ligne sont utilisés par les entreprises pour interagir avec leurs clients, mais aussi pour optimiser la logistique et accroître la productivité au quotidien. Par conséquent, les exigences en termes de qualité ont fortement augmenté.

Les bugs et les dysfonctionnements ne sont plus tolérables, et de nouvelles fonctionnalités doivent être constamment ajoutées au fil du temps. Afin de s’adapter à ces nouvelles attentes, les entreprises adoptent désormais le modèle DevOps.

En combinant le développement et l’exploitation, le DevOps permet aux développeurs de mettre à jour leurs logiciels en continu en se basant sur les retours des utilisateurs. De même, les problèmes techniques peuvent être résolus beaucoup plus rapidement.

Le logiciel est évalué continuellement, et mis à jour en fonction. Cette méthodologie permet des logiciels plus stables, et par extension un produit de meilleure qualité pour l’utilisateur final.

Le DevOps s’impose aujourd’hui comme la principale approche du développement logiciel. Pour cette raison, les ingénieurs DevOps sont très recherchés en entreprise.

Ces experts sont hautement rémunérés, et le nombre d’offres d’emploi explose d’année en année. Suivre une formation DevOps permet d’acquérir toutes les compétences requises pour exercer cette profession.

Qu’est-ce que le DevOps ?

DevOps est une approche du développement logiciel. Elle repose sur la collaboration entre l’équipe de développement (Dev) et l’équipe d’exploitation (Ops).

Cette collaboration a lieu à toutes les étapes du développement logiciel, incluant la conception du produit, le testing, le déploiement et la maintenance technique.

 

En savoir plus sur le DevOps

Il s’agit d’un ensemble de pratiques et d’outils, mais aussi d’une culture et d’une philosophie permettant à une organisation de délivrer des applications et services beaucoup plus rapidement qu’avec les processus traditionnels.

Auparavant, les développeurs et les ops travaillaient en silo. Les développeurs étaient chargés de créer le logiciel, et l’équipe d’exploitation le prenait ensuite en charge intégralement.

Cette méthode présentait de nombreux défauts, et c’est pourquoi DevOps a vu le jour. Les deux équipes sont désormais unies, et les ingénieurs DevOps travaillent sur l’application tout au long de son cycle de vie : du développement au déploiement en passant par le testing, puis à l’exploitation au quotidien.

Les équipes DevOps automatisent les processus historiquement lents et manuels, et utilisent un stack technologique permettant de gérer et d’améliorer les applications de façon rapide et fiable.

En outre, cette nouvelle approche priorise le bon fonctionnement du logiciel. Ceci évite à la fois la frustration des équipes internes, et celle de l’utilisateur final.

Pourquoi suivre une formation DevOps ?

Suivre une formation DevOps permet d’accéder au métier d’ingénieur DevOps. Toutefois, un tel cursus peut s’avérer bénéfique pour tout professionnel impliqué dans la création de logiciels. Ceci concerne aussi bien le développement que l’exploitation quotidienne.

De manière générale, DevOps apporte de nombreux avantages aux organisations. Cette méthode permet tout d’abord de raccourcir le cycle de production, en éliminant les silos fonctionnels via la collaboration entre les équipes.

Elle permet également d’accroître le taux de succès des déploiements, en offrant la capacité de détecter les erreurs de programmation de manière précoce. Là encore, la collaboration permet de résoudre les problèmes techniques très rapidement.

Un autre avantage est l’automatisation des processus manuels de développement et de testing. En mettant l’accent sur la qualité du logiciel tout au long du processus de développement, DevOps réduit aussi les risques d’imprévus. Dans la même logique, l’approche DevSecOps consiste à ajouter la sécurité au cycle de développement pour éviter les problèmes par la suite.

Par ailleurs, une formation certifiante DevOps permet d’accroître votre employabilité et votre valeur sur le marché du travail. Les ingénieurs DevOps et autres experts comptent parmi les professionnels les plus recherchés et les mieux rémunérés du domaine de l’informatique.

À titre indicatif, selon Glassdoor, le salaire annuel moyen aux États-Unis s’élève à 92 000 $ pour un DevOps Release Manager, 125 000 $ pour un ingénieur de fiabilité des sites (SRE) et 115 000 $ pour un ingénieur DevOps. En France, selon Talent.com, un manager DevOps gagne 58 000 $ par an, un ingénieur DevOps 45 000€ par an, et un SRE 60 000€ par an.

Selon une étude de Grand View Resarch, le marché mondial du DevOps atteindra une valeur de 12,85 milliards de dollars en 2025. De plus, le Bureau of Labor Statistics des États-Unis prévoit une augmentation des offres d’emploi de 22% jusqu’en 2030 pour l’industrie du logiciel, contre 8% pour l’ensemble des emplois.

Quel est le programme d’une formation DevOps ?

Commencer une formation DevOps

En choisissant de suivre une formation DevOps, vous pourrez acquérir toutes les compétences requises pour devenir un professionnel de ce domaine. Voici les différentes notions que l’on retrouve dans ces cursus.

Tout d’abord, un langage de programmation comme Python est indispensable pour écrire des scripts et automatiser les tâches. Dans certains cas, la maîtrise de VB-Script et Windows PowerShell est également requise pour un poste DevOps.

L’expert doit aussi savoir créer des tests automatisés à l’aide d’outils dédiés. Ces derniers doivent être incorporés au processus de relaxe automatisé du logiciel.

Les ingénieurs DevOps passent aussi beaucoup de temps sur la configuration des systèmes d’automatisation. Ils doivent aussi maîtriser l’infrastructure en tant que code (IaC) pour configurer l’infrastructure et l’environnement à l’aide d’un langage de programmation.

Une autre compétence essentielle du DevOps est le maniement des systèmes de gestion de version comme Git. Ces outils permettent le suivi des changements apportés à la base de code, et la restauration des versions précédentes en cas de problème.

Par ailleurs, de solides compétences en networking sont indispensables. La connaissance du protocole IP, des certificats et du routing est un précieux atout pour résoudre les éventuels problèmes liés au réseau. Même au sein d’un environnement cloud ou d’un conteneur, il est important de savoir comment fonctionnent les réseaux.

 

Quels sont les principaux outils DevOps ?

Une formation DevOps permet aussi d’apprendre à manier les outils DevOps les plus populaires. En guise d’exemple, on peut citer Puppet permettant de délivrer et déployer des changements rapidement et fréquemment sur un logiciel avec des fonctionnalités de gestion de version, de testing automatisé et de livraison continue.

Avec Ansible, les équipes peuvent automatiser tout le cycle de vie d’une application et gérer les déploiements les plus compliqués. Un autre outil de gestion continue est Chef.

Les experts DevOps doivent aussi manier les solutions d’intégration continue comme Travis CI, Bamboo et Jenkins. L’outil de conteneurisation Docker permet de tester des applications au sein d’un environnement isolé incluant le système d’exploitation et toutes les dépendances, sur un serveur ou une machine virtuelle.

Nagios permet quant à lui la surveillance de l’infrastructure IT, et aide à détecter les erreurs pour les corriger rapidement. C’est un outil de monitoring continu, à l’instar de Sensu et Splunk.

Les certifications DevOps

Les meilleures formations DevOps permettent d’obtenir une certification professionnelle. Un tel titre vous permet d’étoffer votre CV, d’augmenter vos prétentions salariales, et de démontrer votre expertise.

Il existe de nombreuses certifications DevOps, mais certaines sont plus reconnues que d’autres par les employeurs. Voici quelques exemples des plus valorisées.

La certification AWS Certified DevOps Engineer démontre la capacité à tester et déployer l’infrastructure et les applications AWS. Elle témoigne aussi d’une expertise sur les plateformes cloud en général, notamment pour l’implémentation et l’automatisation des processus de gouvernance ou des contrôles de sécurité.

Amazon Web Services étant la plateforme de cloud public la plus utilisée, ses certifications comptent parmi les plus demandées en entreprise. Selon Indeed, on comptait plus de 32 000 postes d’ingénieurs DevOps AWS début 2022, rien qu’aux États-Unis. Cette certification est idéale pour les ingénieurs DevOps travaillant sur AWS ou un autre cloud.

En guise d’alternative, la certification Azure DevOps Engineer Expert est également très reconnue. Elle démontre la maîtrise des processus DevOps, et plus particulièrement la capacité à travailler avec des personnes, des processus et des technologies pour délivrer une valeur continue.

Vous devrez manier les stratégies d’ingénierie de fiabilité des sites, de sécurité et de conformité. Les compétences en gestion de version, en intégration continue et en collaboration sont également évaluées. De plus, la maîtrise du cloud Microsoft Azure est attendue pour cette certification spécialisée.

La certification Docker Certified Associate (DCA) confirme la maîtrise de l’outil Docker simplifiant le développement et le déploiement de logiciels grâce aux conteneurs. Il s’agit d’un outil phare du DevOps, notamment pour le testing continu.

Pour l’obtenir, vous devrez apprendre à manier Docker et les conteneurs en général. Les compétences en orchestration, création d’images, gestion, installation, configuration ou encore en sécurité sont nécessaires. Comptez environ un an d’expérience sur Docker pour réussir l’examen.

La certification Certified Kubernetes Administrator (CKA) indique une capacité à gérer et configurer des clusters sur Kubernetes : la plateforme open source de gestion de conteneurs logiciels.

Elle s’adresse aux professionnels IT gérant des instances Kubernetes, tels que les administrateurs Kubernetes et les administrateurs cloud. Pour l’obtenir, vous devrez prouver vos connaissances en architecture de cluster, en installation, en configuration, en networking, en workloads et en stockage.

Les professionnels DevOps utilisent aussi Puppet pour automatiser les processus, afin de délivrer des changements d’infrastructure plus rapidement et créer de meilleurs logiciels. Cet outil de gestion de système permet d’automatiser et de gérer la configuration de serveur.

Ainsi, l’examen Puppet Certified Professionnal permet d’obtenir une certification validant la maîtrise du logiciel Puppet. Vos compétences techniques et votre expérience seront mises à l’épreuve, et vous devrez comprendre les concepts liés aux stratégies de classification, à la résolution de problèmes dans le code, à la création de modules, à l’orchestration ou à l’administration.

Comment suivre une formation DevOps ?

Pour acquérir une expertise DevOps, vous pouvez choisir DevUniversity. Nos formations vous permettent d’apprendre à manier les outils DevOps, et à appliquer les meilleures pratiques liées à cette méthodologie.

Le cursus se complète intégralement à distance, et notre organisme est éligible au Compte Personnel de Formation pour le financement. N’attendez plus et découvrez DevUniversity !

S’inscrire à une formation DevOps

Définitions

Validation croisée ou « cross validation » : Qu’est ce que c’est ?

Il existe plusieurs outils statistiques destinés à évaluer les performances des différents modèles d’apprentissage automatique. Le cross validation, aussi appelé « validation croisée », en fait partie. Fondée sur une technique d’échantillonnage, la validation croisée est utilisée en Machine Learning pour évaluer des modèles d’apprentissage-machine. 

Qu’est-ce que la validation croisée ? Quelles sont les différentes techniques de validation ? Pourquoi utiliser un jeu de données équilibrées ? Comment devenir un professionnel en validation croisée ? Les réponses à ces questions dans cet article.

Qu’est-ce que la validation croisée ?

La validation croisée : une technique d’échantillonnage

Très souvent utilisée en apprentissage automatique, la validation croisée est une technique d’évaluation permettant d’estimer la fiabilité d’un modèle d’apprentissage automatique. Plus explicitement, il s’agit d’une technique de rééchantillonnage. Elle repose sur un principe simple : utiliser un ensemble de données pour ensuite les diviser en deux catégories. Ce sont :

  • les données d’entraînement utilisées pour entraîner le modèle,
  • les données test utilisées pour la prédiction.

Pourquoi une validation croisée est-elle indispensable ?

Une Machine Learning fait appel à plusieurs modèles d’apprentissage automatique. C’est en partant de ces modèles que la validation croisée estime la fiabilité d’un modèle. Chaque modèle d’apprentissage est fondé sur des sous-ensembles de données d’entrée.
Via une technique d’échantillonnage, la validation croisée atteste si une hypothèse est valide ou non. Elle facilite donc le choix d’un algorithme adapté pour réaliser une tâche définie. On a également recours à la validation pour détecter un surajustement. En se basant sur un échantillon de prétendument issu de la même population d’échantillons d’apprentissage, la validation croisée :

  • ne modélise pas les données de la même manière,
  • démontre l’échec de la généralisation d’une tendance.

Une validation croisée permet d’estimer la fiabilité et la précision du modèle. À partir du moment où le modèle fonctionne sur les données de test, cela signifie qu’il n’a pas réajusté les données d’entraînement. Autrement dit, il peut tout à fait être utilisé pour la prédiction.

Se former au cross validation

Quelles sont les différentes techniques de validation croisée ?

On dénote plusieurs techniques de validation croisée. Les principales sont :

  • le train-test split,
  • la méthode k-folds.

Le train-test split

Le principe de base du train-test split est de décomposer l’ensemble des données de manière aléatoire. Une partie servira à entraîner le modèle de Machine Learning. L’autre partie, quant à elle, permet de réaliser le test de validation. En règle générale, 70 à 80 % des données seront destinés à l’entraînement. Le reste, c’est-à-dire les 20 à 30 %, seront exploités pour le cross validation.
Cette technique s’avère fiable et très efficace. Toutefois, les données disponibles sont limitées. Puisque certaines données n’ont pas été utilisées pour l’entraînement, les informations peuvent donc être manquantes. Ce qui risque de biaiser hautement les résultats. Par contre, la technique du train-test split convient parfaitement à partir du moment où il y a une distribution égale entre les deux échantillons.

La méthode k-folds

Très facile à appréhender et très populaire, la méthode k-folds est l’une des méthodes les plus utilisées par les professionnels. Elle consiste à diviser l’échantillon original en échantillons ou en blocs. De cette façon, l’ensemble des données apparaitra aussi bien dans l’ensemble des données d’entraînements que dans l’ensemble des données test.
Un paramétrage unique dénommé « K » est inséré dans la procédure. Idéalement, K devrait avoir une valeur ni trop basse ni trop haute : entre 5 et 10 selon l’envergure du dataset. Par la suite, il convient d’ajuster le modèle en utilisant des folds K-1 (moins 1). On répétera ce processus jusqu’à ce que tous les K-folds servent au sein de l’ensemble d’entraînement.
La moyenne des scores enregistrés représente la métrique de performance du modèle. À noter que la méthode k-folds peut s’effectuer manuellement ou à l’aide des fonctions cross_val_score et cross_val_predict. Ces dernières se trouvent dans la bibliothèque Python Scikit Learn.

Maîtriser les techniques de validation croisée

Pourquoi utiliser un jeu de données équilibrées ?

En présence d’un jeu de données déséquilibrées, il devient plus difficile de réaliser une cross validation. D’une manière plus concise, une base de données est déséquilibrée quand le nombre d’observations par classe n’est pas le même d’une classe à une autre. Résultat : les algorithmes se trouvent biaisés.
Pour renflouer leur fonction de perte, les algorithmes optimisent les métriques. Ils auront tendance à générer un classifieur trivial regroupant chaque exemple dans la classe majoritaire. Par conséquent, le modèle obtenu ne sera que le reflet de la surreprésentation de la classe majoritaire. Pour y remédier, bon nombre de professionnels ont recours à la validation croisée stratifiée ou « stratified cross validation ».
Cette méthode a pour but principal de s’assurer que la répartition des classes soit la même au niveau de tous les ensembles de validation et d’apprentissage à utiliser. Face à un jeu de données déséquilibrées, générer des échantillons synthétiques constitue une excellente alternative.